Obtenir une pièce d’État civile à la mairie de Louga n’est plus chose aisée depuis quelques temps. Pourtant depuis plusieurs années, se procurer un extrait de naissance, un certificat de résidence ou toute autre pièce d’État civil n’était plus une difficulté pour les populations de Louga qui se procuraient ces actes sans perdre de temps aux services de l’État civil. Très disponibles, les préposés aux guichets avaient fini d’épouser le réflexe de vérifier dans les registres, de confectionner la pièce sollicitée pour la soumettre à la signature dans l’immédiat.
Mais cette facilité déconcertante avec laquelle ces pièces étaient obtenues ont depuis le « scandale du trafic de pièces d’État civil » a comme cédé la place à une sorte d’odyssée pour les populations. Car, depuis cette période, c’est une foule compacte qui se masse dans les très exigus bureaux et hall des services de l’Etat civil pour se faire confectionner un document. Les préposés aux trois guichets sont tellement submergés qu’aucun temps de répit ne leur est accordé. Et déposer sa demande n’est pas synonyme de la fin du calvaire des citoyens. Car, après cette étape qui indispose plus d’un du fait de la durée du temps à passer pour accéder aux guichets se substitue celle de l’attente de la signature.
Là, avec le volume de documents à signer, les lenteurs dans les vérifications, on se trouve obligé d’attendre encore. Certains sont d’ailleurs contraints de repasser dans l’après midi, le temps faisant défaut. C’est dire que le feuilleton du «scandale de trafic de pièces d’État civil » qui secoue la mairie de Louga depuis quelques temps commence à faire ses effets sur les citoyens qui en subissent les contrecoups. Autrement dit, on semble très pointilleux sur le contrôle des pièces à délivrer afin de ne pas rajouter à ce scandale non encore élucidé et encore pendant devant la justice.
Pour rappel, un marocains, un syrien et un jordanien avaient réussi à se procurer des pièces d’État civil dûment signées et qui ont engagé la responsabilité des mairies de Louga, de Niomré et de N’guidila où des personnes D Barry, M N’Diaye, pas employés de ces services , P Diagne et M Fall ont été mis sous les verrous par le juge en charge du dossier.
Lougawebmédias
Mais cette facilité déconcertante avec laquelle ces pièces étaient obtenues ont depuis le « scandale du trafic de pièces d’État civil » a comme cédé la place à une sorte d’odyssée pour les populations. Car, depuis cette période, c’est une foule compacte qui se masse dans les très exigus bureaux et hall des services de l’Etat civil pour se faire confectionner un document. Les préposés aux trois guichets sont tellement submergés qu’aucun temps de répit ne leur est accordé. Et déposer sa demande n’est pas synonyme de la fin du calvaire des citoyens. Car, après cette étape qui indispose plus d’un du fait de la durée du temps à passer pour accéder aux guichets se substitue celle de l’attente de la signature.
Là, avec le volume de documents à signer, les lenteurs dans les vérifications, on se trouve obligé d’attendre encore. Certains sont d’ailleurs contraints de repasser dans l’après midi, le temps faisant défaut. C’est dire que le feuilleton du «scandale de trafic de pièces d’État civil » qui secoue la mairie de Louga depuis quelques temps commence à faire ses effets sur les citoyens qui en subissent les contrecoups. Autrement dit, on semble très pointilleux sur le contrôle des pièces à délivrer afin de ne pas rajouter à ce scandale non encore élucidé et encore pendant devant la justice.
Pour rappel, un marocains, un syrien et un jordanien avaient réussi à se procurer des pièces d’État civil dûment signées et qui ont engagé la responsabilité des mairies de Louga, de Niomré et de N’guidila où des personnes D Barry, M N’Diaye, pas employés de ces services , P Diagne et M Fall ont été mis sous les verrous par le juge en charge du dossier.
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