Fixant le cadre du dialogue, le Chef de l’Etat a engagé en Conseil des ministres tenu hier mercredi, «le Gouvernement et tous les acteurs concernés à perpétuer cette tradition bien sénégalaise de se retrouver toujours pour échanger sur des sujets majeurs».
Le président Sall compte ainsi ouvrir le dialogue national ce samedi 28 mai 2016 en recevant les acteurs de la classe politique, ceux de la société civile, du secteur privé, des organisations de travailleurs, les autorités religieuses et coutumières».
Interpellé sur la question, le porte-parole du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) indique que ledit parti n’est pas informé. «Le PDS, fidèle à ses orientations, attend d’être saisi d’une demande de rencontre pour apprécier le contenu de cette rencontre et avisera le cas échéant. Pour l’instant, je ne suis informé d’une quelconque saisine du PDS venant du président de la République», sert Babacar Gaye sur la Rfm.
Le responsable libéral de préciser que «par voie de conséquence, (il) ne peut n’y infirmer, ni confirmer». «Nous attendons d’être saisi pour apprécier le contenu de la saisine. Pour l’instant, le PDS estime qu’il appartient au président de la République d’engager justement le préalable à une rencontre entre lui-même et son opposition incarnée pour l’instant par le PDS», clôt ce dernier.
Le président Sall compte ainsi ouvrir le dialogue national ce samedi 28 mai 2016 en recevant les acteurs de la classe politique, ceux de la société civile, du secteur privé, des organisations de travailleurs, les autorités religieuses et coutumières».
Interpellé sur la question, le porte-parole du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) indique que ledit parti n’est pas informé. «Le PDS, fidèle à ses orientations, attend d’être saisi d’une demande de rencontre pour apprécier le contenu de cette rencontre et avisera le cas échéant. Pour l’instant, je ne suis informé d’une quelconque saisine du PDS venant du président de la République», sert Babacar Gaye sur la Rfm.
Le responsable libéral de préciser que «par voie de conséquence, (il) ne peut n’y infirmer, ni confirmer». «Nous attendons d’être saisi pour apprécier le contenu de la saisine. Pour l’instant, le PDS estime qu’il appartient au président de la République d’engager justement le préalable à une rencontre entre lui-même et son opposition incarnée pour l’instant par le PDS», clôt ce dernier.
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