
Selon docteur Lucile Imboua, la représentante de l’Organisation mondiale de la santé(OMS), le vaccin est l’une des solutions pour lutter contre la COVID-19. Concernant les inquiétudes sur l’AstraZeneca elle affirme qu’« on a des manifestations qui ont été observées, mais pour le moment, on n'a pas les preuves que c’est lié au vaccin. Le travail continue même si d’autres pays l’ont suspendu en attendant ».
Une mesure de précaution d’après ses dires en attendant que plus de recherches soient effectuées « pour pouvoir vérifier l’imputabilité du vaccin AstraZeneca ».
Toujours concernant les risques en cas de vaccination d’AstraZeneca, Lucile Imboua donne comme conseil de continuer à l’utiliser. « Les études qui ont été faites autour des manifestations jusqu’à présent ne lient pas ces manifestations au vaccin AstraZeneca. Donc on n’a aucune preuve, ces vaccins sont nocifs au point qu’on doit les arrêter », dit-elle.
Avant d’ajouter: les « Le vaccin peut nous éviter de tomber malade, peut aussi nous aider à éviter la mort ». De ce fait, « on doit continuer de sensibiliser la population sur l’innocuité du vaccin et les bénéfices qu’on en tire », soutient-elle.
Pour sensibiliser les populations, il y a des stratégies qui sont des fondamentaux qu’il faut appliquer, selon la représentante de l’Oms au Sénégal. « Il y a des mécanismes en place pour s’assurer que ça soit fonctionnel. Il faut poursuivre la sensibilisation, car il est pour tous, et tout le monde doit pouvoir suivre les conseils qu’on donne sur les mesures barrières, si cette baisse est avérée, qu’elle soit durable ».
Un réseau de travailleurs communautaires a été mis en place par l’OMS. On les appelle « les relais communautaires », ce sont eux qui « traînent » les messages jusque dans les domiciles pour faire comprendre que lorsqu’on est malade, il ne faut pas rester à la maison. Si la population n’est pas n’est pas réceptive, elle ne pourra pas gérer la situation.
Une mesure de précaution d’après ses dires en attendant que plus de recherches soient effectuées « pour pouvoir vérifier l’imputabilité du vaccin AstraZeneca ».
Toujours concernant les risques en cas de vaccination d’AstraZeneca, Lucile Imboua donne comme conseil de continuer à l’utiliser. « Les études qui ont été faites autour des manifestations jusqu’à présent ne lient pas ces manifestations au vaccin AstraZeneca. Donc on n’a aucune preuve, ces vaccins sont nocifs au point qu’on doit les arrêter », dit-elle.
Avant d’ajouter: les « Le vaccin peut nous éviter de tomber malade, peut aussi nous aider à éviter la mort ». De ce fait, « on doit continuer de sensibiliser la population sur l’innocuité du vaccin et les bénéfices qu’on en tire », soutient-elle.
Pour sensibiliser les populations, il y a des stratégies qui sont des fondamentaux qu’il faut appliquer, selon la représentante de l’Oms au Sénégal. « Il y a des mécanismes en place pour s’assurer que ça soit fonctionnel. Il faut poursuivre la sensibilisation, car il est pour tous, et tout le monde doit pouvoir suivre les conseils qu’on donne sur les mesures barrières, si cette baisse est avérée, qu’elle soit durable ».
Un réseau de travailleurs communautaires a été mis en place par l’OMS. On les appelle « les relais communautaires », ce sont eux qui « traînent » les messages jusque dans les domiciles pour faire comprendre que lorsqu’on est malade, il ne faut pas rester à la maison. Si la population n’est pas n’est pas réceptive, elle ne pourra pas gérer la situation.
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