
L'ancien président Barack Obama a regretté ce jeudi 1er mai la décision de Donald Trump de retirer les États-Unis de l'accord de Paris sur le climat, qu'il avait signé, mais affirmé que cette décision n'entraverait pas les progrès écologiques dans le reste du monde.
Dans un communiqué, le démocrate a rappelé que l'accord n'avait pu voir le jour, en 2015, que grâce au "leadership américain sur la scène mondiale". Or, selon lui, "le secteur privé a déjà choisi un avenir à faible carbone".
"Et pour les pays qui se sont engagés dans cet avenir, l'accord de Paris a ouvert les vannes pour que les entreprises, les scientifiques et les ingénieurs déclenchent des investissements et innovations de hautes technologies et faibles en carbone à une échelle sans précédent", a argué Barack Obama.
"Les pays qui restent dans l'accord de Paris seront ceux qui en récolteront les bénéfices en termes d'emplois et de secteurs d'activité créés", a affirmé l'ancien dirigeant américain.
"J'estime que les Etats-Unis devraient se trouver à l'avant-garde. Mais même en l'absence de leadership américain; même si cette administration se joint à une petite poignée de pays qui rejettent l'avenir; je suis certain que nos États, villes et entreprises seront à la hauteur et en feront encore plus pour protéger notre planète pour les générations futures", a-t-il conclu.
Les pays européens ont été bien moins optimistes en apprenant la nouvelle. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a qualifié jeudi soir de "gravement erronée" la décision de Trump.
La chancelière allemande Angela Merkel a dit "regretter" la sortie des Etats-Unis de l'accord de Paris, appelant à poursuivre "la politique climatique qui préserve notre terre". Auparavant, plusieurs de ses ministres sociaux-démocrates, dont son chef de la diplomatie, avaient estimé que la décision de Trump allait "nuire" au monde entier.
Dans un communiqué, le démocrate a rappelé que l'accord n'avait pu voir le jour, en 2015, que grâce au "leadership américain sur la scène mondiale". Or, selon lui, "le secteur privé a déjà choisi un avenir à faible carbone".
"Et pour les pays qui se sont engagés dans cet avenir, l'accord de Paris a ouvert les vannes pour que les entreprises, les scientifiques et les ingénieurs déclenchent des investissements et innovations de hautes technologies et faibles en carbone à une échelle sans précédent", a argué Barack Obama.
"Les pays qui restent dans l'accord de Paris seront ceux qui en récolteront les bénéfices en termes d'emplois et de secteurs d'activité créés", a affirmé l'ancien dirigeant américain.
"J'estime que les Etats-Unis devraient se trouver à l'avant-garde. Mais même en l'absence de leadership américain; même si cette administration se joint à une petite poignée de pays qui rejettent l'avenir; je suis certain que nos États, villes et entreprises seront à la hauteur et en feront encore plus pour protéger notre planète pour les générations futures", a-t-il conclu.
Les pays européens ont été bien moins optimistes en apprenant la nouvelle. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a qualifié jeudi soir de "gravement erronée" la décision de Trump.
La chancelière allemande Angela Merkel a dit "regretter" la sortie des Etats-Unis de l'accord de Paris, appelant à poursuivre "la politique climatique qui préserve notre terre". Auparavant, plusieurs de ses ministres sociaux-démocrates, dont son chef de la diplomatie, avaient estimé que la décision de Trump allait "nuire" au monde entier.
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