Devant la presse, ce dimanche, Dr Cheikh Tidiane Gadio a exigé la libération des soldats qui sont entre les mains du Mfdc. « Nous avons été rassurés qu’ils sont bien traités et nous souhaitons que cela continue », indique Dr Gadio.
Le leader du Mpc/L a également plaidé pour qu’une solution soit rapidement trouvée afin que les prisonniers soient relâchés. Selon lui, ce serait un geste de bonne volonté de ceux qui, dans le camp du maquis, disent être prêts à ouvrir immédiatement des négociations sans condition pour ramener la paix en Casamance et au Sénégal en général.
Pour lui, la question casamançaise ne devrait pas être une question de politique politicienne ou une question d’agenda électoral. « La Casamance méritait d’être une priorité nationale et je l’ai toujours dit dans mes écrits » affirme Dr Gadio.
Pour concrétiser ses propos, le leader du Mouvement politique et citoyen « Luy jot jotna » a promis s’il est élu le soir du 26 février, de faire sa première déclaration à la Nation à partir de Ziguinchor, mais également de s’y faire investir officiellement à la Magistrature suprême et non à Dakar, si toutefois les conditions sont réunies, selon le journal « Le Quotidien ».
Dr Tidiane Gadio opte pour une approche sous-régionale et panafricaine pour le règlement de cette crise. Il sollicite, à cet effet l’implication de la Gambie et de la Guinée-Bissau, deux pays limitrophes qui ne sont pas également épargnés par les effets collatéraux de la crise du sud du Sénégal.
En ce qui concerne la candidature de Me Wade à un troisième mandat présidentiel. Le leader du Mpc/L se veut formel et catégorique. « Si le nom de Me Wade figure sur la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel, ce sera de faire un coup d’Etat constitutionnel », martèle Dr Gadio.
Et même si le Conseil constitutionnel parvenait à valider la candidature de Abdoulaye Wade, le peuple est plus que déterminé pour faire partir Me Wade et ça le Conseil constitutionnel n’y peut rien, si on y croit Gadio.
Le leader du Mpc/L a également plaidé pour qu’une solution soit rapidement trouvée afin que les prisonniers soient relâchés. Selon lui, ce serait un geste de bonne volonté de ceux qui, dans le camp du maquis, disent être prêts à ouvrir immédiatement des négociations sans condition pour ramener la paix en Casamance et au Sénégal en général.
Pour lui, la question casamançaise ne devrait pas être une question de politique politicienne ou une question d’agenda électoral. « La Casamance méritait d’être une priorité nationale et je l’ai toujours dit dans mes écrits » affirme Dr Gadio.
Pour concrétiser ses propos, le leader du Mouvement politique et citoyen « Luy jot jotna » a promis s’il est élu le soir du 26 février, de faire sa première déclaration à la Nation à partir de Ziguinchor, mais également de s’y faire investir officiellement à la Magistrature suprême et non à Dakar, si toutefois les conditions sont réunies, selon le journal « Le Quotidien ».
Dr Tidiane Gadio opte pour une approche sous-régionale et panafricaine pour le règlement de cette crise. Il sollicite, à cet effet l’implication de la Gambie et de la Guinée-Bissau, deux pays limitrophes qui ne sont pas également épargnés par les effets collatéraux de la crise du sud du Sénégal.
En ce qui concerne la candidature de Me Wade à un troisième mandat présidentiel. Le leader du Mpc/L se veut formel et catégorique. « Si le nom de Me Wade figure sur la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel, ce sera de faire un coup d’Etat constitutionnel », martèle Dr Gadio.
Et même si le Conseil constitutionnel parvenait à valider la candidature de Abdoulaye Wade, le peuple est plus que déterminé pour faire partir Me Wade et ça le Conseil constitutionnel n’y peut rien, si on y croit Gadio.
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