L’indignation, la consternation et la désolation ont accompagné le rapt de 200 lycéennes dans le nord du Nigéria par la secte Boko Haram. La communauté internationale est unanime à condamner l’acte commis par Aboubakar Shekau, et ses hommes. Mais les voix africaines semblent absentes. Les chefs d’Etat sont silencieux. Les premières Dames sont aussi out, alors que de l’autre côté, précisément en Occidentaux les voix s’élèvent. François Hollande a convoqué ce samedi un sommet sur la situation au Nigéria. Plusieurs chefs d’Etat d’Afrique de l’Ouest prendront part aux travaux. La classe politique française a également exprimé son indignation. Aux Etats-Unis, le président Barack Obama en plus de condamner le rapt des filles a mobilisé des moyens matériels et humains pour libérer les lycéennes. Son épouse Michelle est aussi montée au créneau. « Bring back ours girls (Ramenez-nous nos filles », lance-t-elle via une pancarte qui a fait le tour du monde.
La situation des filles laisse-t-elle indifférents les dirigeants et les premières Dames du continent ? Les sœurs de Marième Fall Sall, l’épouse du président de la République du Sénégal ne se sont pas encore signalées. Même si leurs voix n’a pas le même impact que la parole de Michelle Obama, elles devraient au moins manifester leur solidarité. Les 200 filles sauront que leurs « mères d’Afrique » sont
avec elles. Cela est valable pour les chefs d’Etat. La Cedeao doit réagir fermement. Tout comme l’Union africaine. Cela encouragerait davantage les grandes puissances à soutenir le continent. Les filles comprendront que l’Afrique est debout pour défendre leur cause.
La situation des filles laisse-t-elle indifférents les dirigeants et les premières Dames du continent ? Les sœurs de Marième Fall Sall, l’épouse du président de la République du Sénégal ne se sont pas encore signalées. Même si leurs voix n’a pas le même impact que la parole de Michelle Obama, elles devraient au moins manifester leur solidarité. Les 200 filles sauront que leurs « mères d’Afrique » sont
avec elles. Cela est valable pour les chefs d’Etat. La Cedeao doit réagir fermement. Tout comme l’Union africaine. Cela encouragerait davantage les grandes puissances à soutenir le continent. Les filles comprendront que l’Afrique est debout pour défendre leur cause.
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