Cheikh Mazhar Shahin : Si vous vous mariez à une femme et qu’après un certain temps, vous découvrez qu´elle appartient aux FM, et qu´elle est une cellule dormante dans votre propre maison... En d´autres termes, il y a une cellule dormante des Frères musulmans dans votre maison, une bombe à retardement dort tout près vous dans votre chambre à coucher. Il s´agit d´une toute nouvelle situation difficile.
Je tiens à souligner que si mes intérêts personnels entrent en conflit avec ceux de mon pays, les intérêts de mon pays passent en premier. Si ma femme s’oppose aux intérêts de mon pays - mon pays passe en premier. Si les intérêts de ma religion sont en contradiction avec quoi que ce soit, ils passent toujours en premier. C´est ce qu´on appelle les priorités. Que dois-je sacrifier - ma femme ou mon pays, l´Egypte ? Au bout du compte, ma femme n’est qu’une personne. Je veux dire « sacrifier » au sens qui plaise à Allah. Je ne veux pas dire la tuer. Je voudrais rompre avec elle, lui accorder tous ses droits juridiques, comme Allah l´a voulu, protégeant ainsi mon pays et mon patriotisme.
Je dis cela parce que je sais que de nombreux téléspectateurs souffrent de ce problème. Un homme qui se réveille un matin et se retrouve à côté d´une cellule dormante, avec une bombe à retardement dans sa propre maison. Permettez-moi de dire, ici et maintenant : Libre à elle de renoncer aux Frères musulmans, et de vivre avec vous d´une manière qui plaise à Allah. Mais si elle persiste dans ses idées terroristes, qui sont en contradiction avec votre pays et votre religion – qu’elle retourne chez son père.
[...]
Que faire si je rentre à la maison et que je trouve ma femme piétinant le drapeau égyptien ? Et si je la trouve en train d’écouter une chanson contre l´armée égyptienne ? Que faire si je la trouve dansant la danse du ventre de joie, parce qu’un général a été abattu et son sang versé sur le sol égyptien ? Que faire si je la trouve dansant la danse du ventre de joie, le jour de l´attentat à la bombe contre le siège de la sécurité au Caire, ou le jour où un avion a été mis à terre dans une attaque criminelle ? Que faire si je rentre à la maison et que je vois qu´au lieu de préparer le déjeuner pour les enfants, elle confectionne des cocktails Molotov ? Que faire si je la surprends en train de maudire l´armée, le système judiciaire, Al-Azhar et l´Eglise ? Que faire si elle parle au téléphone de l’organisation de la manifestation du lendemain ?
Si je lui dis : « Reprends tes esprits et élevons nos enfants en paix », et qu’elle répond : « Non, c´est ce en quoi je crois, et je continuerai à y croire »... Dans un tel cas, ne suis-je pas en droit de divorcer d’elle ?
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Je tiens à souligner que si mes intérêts personnels entrent en conflit avec ceux de mon pays, les intérêts de mon pays passent en premier. Si ma femme s’oppose aux intérêts de mon pays - mon pays passe en premier. Si les intérêts de ma religion sont en contradiction avec quoi que ce soit, ils passent toujours en premier. C´est ce qu´on appelle les priorités. Que dois-je sacrifier - ma femme ou mon pays, l´Egypte ? Au bout du compte, ma femme n’est qu’une personne. Je veux dire « sacrifier » au sens qui plaise à Allah. Je ne veux pas dire la tuer. Je voudrais rompre avec elle, lui accorder tous ses droits juridiques, comme Allah l´a voulu, protégeant ainsi mon pays et mon patriotisme.
Je dis cela parce que je sais que de nombreux téléspectateurs souffrent de ce problème. Un homme qui se réveille un matin et se retrouve à côté d´une cellule dormante, avec une bombe à retardement dans sa propre maison. Permettez-moi de dire, ici et maintenant : Libre à elle de renoncer aux Frères musulmans, et de vivre avec vous d´une manière qui plaise à Allah. Mais si elle persiste dans ses idées terroristes, qui sont en contradiction avec votre pays et votre religion – qu’elle retourne chez son père.
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Que faire si je rentre à la maison et que je trouve ma femme piétinant le drapeau égyptien ? Et si je la trouve en train d’écouter une chanson contre l´armée égyptienne ? Que faire si je la trouve dansant la danse du ventre de joie, parce qu’un général a été abattu et son sang versé sur le sol égyptien ? Que faire si je la trouve dansant la danse du ventre de joie, le jour de l´attentat à la bombe contre le siège de la sécurité au Caire, ou le jour où un avion a été mis à terre dans une attaque criminelle ? Que faire si je rentre à la maison et que je vois qu´au lieu de préparer le déjeuner pour les enfants, elle confectionne des cocktails Molotov ? Que faire si je la surprends en train de maudire l´armée, le système judiciaire, Al-Azhar et l´Eglise ? Que faire si elle parle au téléphone de l’organisation de la manifestation du lendemain ?
Si je lui dis : « Reprends tes esprits et élevons nos enfants en paix », et qu’elle répond : « Non, c´est ce en quoi je crois, et je continuerai à y croire »... Dans un tel cas, ne suis-je pas en droit de divorcer d’elle ?
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