«Notre pays vient d’accéder, comme membre non permanent, au Conseil de sécurité de l’Onu pour la troisième fois. Cette nouvelle admission intervient après celle de 1968-1969 avec le Président Léopold Sédar Senghor, huit années seulement après l’accession de notre pays à la souveraineté internationale et celle de 1988-1989, huit autres années, après que le Président Diouf a accédé à la magistrature suprême de notre pays », lit-on dans le communiqué du Secrétariat exécutif national du Parti socialiste (PS). Pour les socialistes, si le Sénégal a pu, très tôt, intégrer ce cercle restreint, c’est en grande partie grâce à la vitalité de sa politique extérieure et au professionnalisme de ses diplomates.
«Cette embellie diplomatique aurait pu persister dans les années 2008-2009 et permettre au Sénégal de siéger une troisième fois au Conseil de sécurité de l’Onu, si les errements et les errances du régime d’Abdoulaye Wade sur la scène internationale n’avaient pas conduit à un délassement de notre diplomatie au sein des Nations Unies», égratignent les membres de la coalition au pouvoir, Benno Bokk Yaakaar (BBY). Ce, avant de tresser des lauriers au président Sall qui, estiment-ils Avant de tresser des lauriers vient de corriger cette anomalie.
«Au-delà de son image de pays stable et démocratique, cette admission au Conseil de sécurité montre que le Sénégal, en plus de bénéficier du soutien total de l’Union africaine, a rempli les critères tels que prévus par l’article 23 de la Charte des Nations Unies pour y siéger, notamment la contribution aux opérations de maintien de la paix dans le monde, la réparation et la rotation géographique et l’atteinte des autres objectifs des Nations Unies», marque le PS qui déclare que le Sénégal doit également cette nouvelle admission à « sa diplomatie qui privilégie le dialogue en toutes circonstances et non le recours systématique à la guerre pour régler les différends ». Une orientation stratégique soit maintenue et renforcée, pour Ousmane Tanor Dieng et Cie.
«Cette embellie diplomatique aurait pu persister dans les années 2008-2009 et permettre au Sénégal de siéger une troisième fois au Conseil de sécurité de l’Onu, si les errements et les errances du régime d’Abdoulaye Wade sur la scène internationale n’avaient pas conduit à un délassement de notre diplomatie au sein des Nations Unies», égratignent les membres de la coalition au pouvoir, Benno Bokk Yaakaar (BBY). Ce, avant de tresser des lauriers au président Sall qui, estiment-ils Avant de tresser des lauriers vient de corriger cette anomalie.
«Au-delà de son image de pays stable et démocratique, cette admission au Conseil de sécurité montre que le Sénégal, en plus de bénéficier du soutien total de l’Union africaine, a rempli les critères tels que prévus par l’article 23 de la Charte des Nations Unies pour y siéger, notamment la contribution aux opérations de maintien de la paix dans le monde, la réparation et la rotation géographique et l’atteinte des autres objectifs des Nations Unies», marque le PS qui déclare que le Sénégal doit également cette nouvelle admission à « sa diplomatie qui privilégie le dialogue en toutes circonstances et non le recours systématique à la guerre pour régler les différends ». Une orientation stratégique soit maintenue et renforcée, pour Ousmane Tanor Dieng et Cie.
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