Les républicains l'affirment, l’immigration est une faiblesse dans la campagne de Kamala Harris. Et selon les études d’opinion, ils ont assez bien réussi à imposer cette idée. La vice-présidente fait figure de bouc émissaire idéale du nombre de passages illégaux, même s’ils ont diminué ces derniers mois après des mesures prises en début d’année par l’administration Biden.
C’est la raison pour laquelle en Arizona, un État dans lequel elle est en retard dans les sondages, Kamala Harris affirme sa fermeté à venir si elle est élue.
« Pour réduire les passages illégaux, j’irai plus loin pour fermer la frontière entre les points d’entrée. Ceux qui traversent notre frontière illégalement seront arrêtés, expulsés et interdits de retour pendant cinq ans. Nous poursuivrons plus sévèrement les récidivistes. Et si quelqu’un ne fait pas une demande d’asile à un point d’entrée légal et traverse notre frontière illégalement, on leur refusera l’asile », affirme Kamala Harris, qui avait été désignée responsable de la gestion des frontières et de la crise migratoire au début du mandat du président Joe Biden.
Pour ce premier déplacement dans la région en trois ans, la vice-présidente américaine a défendu une politique équilibrée et dénoncé son adversaire dans la course à la Maison-Blanche, accusé de « manier la rhétorique plutôt que les résultats ». « Il a aggravé les difficultés à la frontière, et il continue d'attiser les flammes de la peur et de la division », a-t-elle lancé à Douglas, ville frontalière dans l'Arizona, État du Sud-Ouest qui sera clé pour l'élection de novembre. Car il s'agit d'un des États pouvant basculer vers les conservateurs républicains ou vers les progressistes démocrates.
Pour les républicains, c’est trop peu et surtout trop tard. Ce voyage à 39 jours de l’élection vient après 44 mois de chaos à une frontière grande ouverte, dit la campagne de Donald Trump. Celle-ci accuse la candidate démocrate de prendre les électeurs pour des imbéciles.
C’est la raison pour laquelle en Arizona, un État dans lequel elle est en retard dans les sondages, Kamala Harris affirme sa fermeté à venir si elle est élue.
« Pour réduire les passages illégaux, j’irai plus loin pour fermer la frontière entre les points d’entrée. Ceux qui traversent notre frontière illégalement seront arrêtés, expulsés et interdits de retour pendant cinq ans. Nous poursuivrons plus sévèrement les récidivistes. Et si quelqu’un ne fait pas une demande d’asile à un point d’entrée légal et traverse notre frontière illégalement, on leur refusera l’asile », affirme Kamala Harris, qui avait été désignée responsable de la gestion des frontières et de la crise migratoire au début du mandat du président Joe Biden.
Pour ce premier déplacement dans la région en trois ans, la vice-présidente américaine a défendu une politique équilibrée et dénoncé son adversaire dans la course à la Maison-Blanche, accusé de « manier la rhétorique plutôt que les résultats ». « Il a aggravé les difficultés à la frontière, et il continue d'attiser les flammes de la peur et de la division », a-t-elle lancé à Douglas, ville frontalière dans l'Arizona, État du Sud-Ouest qui sera clé pour l'élection de novembre. Car il s'agit d'un des États pouvant basculer vers les conservateurs républicains ou vers les progressistes démocrates.
Pour les républicains, c’est trop peu et surtout trop tard. Ce voyage à 39 jours de l’élection vient après 44 mois de chaos à une frontière grande ouverte, dit la campagne de Donald Trump. Celle-ci accuse la candidate démocrate de prendre les électeurs pour des imbéciles.
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