Selon le Premier ministre, le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc) offre un cadre adéquat avec les 116 milliards mobilisés par l’Etat du Sénégal en vue de la construction et de la réhabilitation de 3 050 km de pistes rurales, la construction et la réhabilitation de 250 forages et châteaux d’eau pour 1 016 villages, l’électrification de 325 villages, et la mise à disposition de 5 000 équipements ruraux, notamment des décortiqueuses et des batteuses, pour l’allègement des travaux en milieu rural. Pour le président du Conseil national du patronat, Baïdy Agne, le Pudc est justement le trait d’union entre le Plan Sénégal émergent (Pse) et l’Acte 3 de la décentralisation. «La création et la pérennisation de milliers d’emplois locaux sont au cœur de notre action», assure M. Agne.
Comme souvent, le président du Cnp a plaidé pour qu’une plus grande part des marchés de l’Etat soit affectée au secteur privé national. «Aucun pays ne peut émerger sans son secteur privé», réitère Baïdy Agne, qui indique que l’Etat est un client important dans tous les pays. «Un privé national qui se développe dans un secteur, ce même privé national, on le retrouvera investir dans un autre secteur. Le gouvernement entend ce discours, des actions sont même prises, mais il faut les mettre en cohérence», indique le patron des patrons d’entreprises affiliés au Cnp, en évoquant les dernières lois adoptées et qui obligent les investisseurs étrangers à nouer des joint ventures avec des privés nationaux. Toutefois, souligne M. Agne, «il faut aller plus loin et mettre un bon contenu».
Comme souvent, le président du Cnp a plaidé pour qu’une plus grande part des marchés de l’Etat soit affectée au secteur privé national. «Aucun pays ne peut émerger sans son secteur privé», réitère Baïdy Agne, qui indique que l’Etat est un client important dans tous les pays. «Un privé national qui se développe dans un secteur, ce même privé national, on le retrouvera investir dans un autre secteur. Le gouvernement entend ce discours, des actions sont même prises, mais il faut les mettre en cohérence», indique le patron des patrons d’entreprises affiliés au Cnp, en évoquant les dernières lois adoptées et qui obligent les investisseurs étrangers à nouer des joint ventures avec des privés nationaux. Toutefois, souligne M. Agne, «il faut aller plus loin et mettre un bon contenu».
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