«Depuis 2012, l’Etat du Sénégal a décidé d’orienter dans les établissements privés d’enseignement supérieur des bacheliers qui ne pouvaient pas accéder aux universités publiques faute de places. Il se trouve que depuis 2013, des retards importants sont notés dans le règlement des sommes dues, occasionnant des cumuls d’arriérés. Pis, pour cette année, aucun établissement n’a encore reçu de paiement », a déclaré Abass Fall, vice-président de la Fepes.
Cette structure qui a fait face à la presse déplore cette situation qui commence à gangrener le fonctionnement desdits établissements. En effet, relève M. Fall, ils avaient accepté d’assurer la formation de ces étudiants à raison de 400.000 francs l’année pour chaque étudiant. Ce qui fait 16 milliards de francs Cfa.
A l'en croire, la dette colossale freine sérieusement le fonctionnement des établissements privés puisque la confiance qui prévalait entre ces structures et leurs fournisseurs, partenaires et autres commencent à être ébranlée, d’autant plus qu’ils ne peuvent plus respecter leurs engagements.
Les membres de la Fepes, qui affirment ne pas vouloir en découdre avec l’Etat, avertissent cependant qu’ils seront obligés d’exclure tous les étudiants inscrits par l’Etat, si ce dernier ne remplit pas ses obligations envers eux.
Cette structure qui a fait face à la presse déplore cette situation qui commence à gangrener le fonctionnement desdits établissements. En effet, relève M. Fall, ils avaient accepté d’assurer la formation de ces étudiants à raison de 400.000 francs l’année pour chaque étudiant. Ce qui fait 16 milliards de francs Cfa.
A l'en croire, la dette colossale freine sérieusement le fonctionnement des établissements privés puisque la confiance qui prévalait entre ces structures et leurs fournisseurs, partenaires et autres commencent à être ébranlée, d’autant plus qu’ils ne peuvent plus respecter leurs engagements.
Les membres de la Fepes, qui affirment ne pas vouloir en découdre avec l’Etat, avertissent cependant qu’ils seront obligés d’exclure tous les étudiants inscrits par l’Etat, si ce dernier ne remplit pas ses obligations envers eux.
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