Après les tirs de roquettes en direction de Jérusalem, la première fois depuis le début de l’offensive, la tension dans la ville est forte ce dimanche, raconte notre correspondant, Michel Paul. Les tirs ont été interceptés dans la périphérie de la ville. Un dispositif spécial de la police a été mis en place.
« Il y a peu de temps, nous avons tiré des roquettes vers Jérusalem », ont annoncé peu de temps après les brigades Al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, dans un communiqué.
Le conflit risque de se transporter dans la ville sainte à l’occasion de Tisha Beav, ce 7 août, un jour de jeûne et de commémoration de la destruction des deux Temples. Et plus précisément sur l’Esplanade des mosquées, le Mont du Temple. Des milliers de visiteurs juifs doivent se rendre sur ce site qui abrite la mosquée Al-Aqsa le troisième lieu saint de l’Islam. Et parmi eux, le député d'extrême droite Itamar Ben Gvir. « On ne peut pas céder face au Jihad islamique », a-t-il notamment proclamé. Et l’on craint des affrontements sur place avec des fidèles musulmans.
Un risque de provocations des extrémistes
Les responsables des services de sécurité israéliens ont donné le feu vert à ces visites mais affirment que la décision pourra être révisée selon l’évolution de la situation sur le terrain. Plusieurs députés arabes de la Knesset demandent au gouvernement de ne pas permettre de provocations de la part des extrémistes juifs.
« Il y a peu de temps, nous avons tiré des roquettes vers Jérusalem », ont annoncé peu de temps après les brigades Al-Qods, la branche armée du Jihad islamique, dans un communiqué.
Le conflit risque de se transporter dans la ville sainte à l’occasion de Tisha Beav, ce 7 août, un jour de jeûne et de commémoration de la destruction des deux Temples. Et plus précisément sur l’Esplanade des mosquées, le Mont du Temple. Des milliers de visiteurs juifs doivent se rendre sur ce site qui abrite la mosquée Al-Aqsa le troisième lieu saint de l’Islam. Et parmi eux, le député d'extrême droite Itamar Ben Gvir. « On ne peut pas céder face au Jihad islamique », a-t-il notamment proclamé. Et l’on craint des affrontements sur place avec des fidèles musulmans.
Un risque de provocations des extrémistes
Les responsables des services de sécurité israéliens ont donné le feu vert à ces visites mais affirment que la décision pourra être révisée selon l’évolution de la situation sur le terrain. Plusieurs députés arabes de la Knesset demandent au gouvernement de ne pas permettre de provocations de la part des extrémistes juifs.
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