La fraude aux examens scolaires connaît une croissance alarmante, alerte Mamadou Wellé, superviseur de l’organisation du baccalauréat dans cette zone sud du pays. Lors du Comité Régional de Développement (CRD) préparatoire des examens de fin d’année, tenu ce jeudi, dans la salle de conférence de l’hôtel de ville de Kolda, l'autorité éducative a tiré la sonnette d’alarme.
« L’année dernière, il y a eu beaucoup de difficultés avec des élèves pris en flagrant délit de fraude », a-t-il déclaré devant un parterre d’acteurs éducatifs et administratifs. Selon M. Wellé, le phénomène ne fait que s’amplifier : certains candidats ont déjà été épinglés pour tricherie lors de l'examen blanc cette année, une situation jugée préoccupante à la veille des épreuves officielles.
L’une des principales causes de cette recrudescence est, selon lui, l’avènement des technologies d’intelligence artificielle, qui facilitent désormais l’accès rapide à des contenus illicites en salle d’examen. « Avec l’avènement de l’IA, la tricherie est devenue beaucoup plus facile », a-t-il regretté, soulignant les défis posés par ces outils numériques de plus en plus sophistiqués.
Face à cette situation, le superviseur a appelé à un renforcement urgent du dispositif sécuritaire autour des examens. « Il est impératif d’appliquer rigoureusement les textes en vigueur », a-t-il recommandé, en insistant sur une meilleure vigilance de la part des surveillants et sur la sensibilisation des candidats quant aux conséquences disciplinaires et judiciaires liées à la fraude.
« L’année dernière, il y a eu beaucoup de difficultés avec des élèves pris en flagrant délit de fraude », a-t-il déclaré devant un parterre d’acteurs éducatifs et administratifs. Selon M. Wellé, le phénomène ne fait que s’amplifier : certains candidats ont déjà été épinglés pour tricherie lors de l'examen blanc cette année, une situation jugée préoccupante à la veille des épreuves officielles.
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