Les trois (3) membres du mouvement de protestation « Y en a marre » rentrés hier à Dakar sont revenus sur leur séjour et les conditions de leur détention en République Démocratique du Congo (RDC). Fadel Barro et ses compagnons ont tenu à faire savoir qu’ils n’ont pas été brutalisés, ils ont été bien traités. « Nous avons participé à des ateliers d’échanges. Nous avons présenté "Y'en a marre" et les autres associations citoyennes telle que le « balaie citoyen ». Après cet atelier, nous avons participé à une conférence de presse. Nous avons été arrêtés par la police militaire du Congo au moment des questions réponses avec les journalistes. Et nous avons été envoyés à l’Agence Nationale de Renseignement (ANS) », relate le coordonnateur.
Avant de revenir sur les conditions de détention. Il a ainsi précisé qu’ils n’ont pas été torturés, ni maltraités. Non sans indiquer qu’aucune charge ne pesait contre eux. «Nous avons été détenus dans un appartement avec des matelas. Quand nous avons demandé à l’administrateur de l’ANS, les chefs d’accusations qui pèsent sur nous, il nous a dit que rien ne nous a été reproché, il n’y avait aucune charge contre nous ». Et d’ajouter: «De notre cellule, on ne savait pas ce qui se passe. C’est par la suite qu’on a entendu que nous sommes accusé d’être venu en commando, des terroristes venus pour déstabiliser le pays mais il n’en est rien, nous avons été traités avec beaucoup de respect", poursuit le "Y'en a marriste".
Fadel Barro a indiqué par ailleurs qu’il ne connait pas les conditions dans lesquelles sont les autres détenus, congolais et du balaie citoyen. « Je ne sais pas dans quelles conditions sont les autres qui ont été arrêtés en même temps que nous. Et leur situation nous préoccupe. Nous allons nous mobiliser pour leur libération ». Toutefois, il tient à respecter les lois et règlement du Congo et leur statut de persona non grata dans ce pays d’où il a été expulsé en même temps que Malal Talla alias fou malade et Aliou Sané. Ainsi, dira-t-il: «Nous avons été expulsés du Congo donc nous ne pouvons pas retourner dans ce pays à moins que la mesure soit levée. Nous espérons que le président comprendra et va revenir à de meilleurs sentiments".
"Nous sommes une jeunesse africaine qui veut s’émanciper et qui est venue partager un discours de paix. Nous avons dit au Congo que nous sommes venu soutenir un mouvement citoyen pour siffler la fin de la violence pour une bonne Démocratie », sert le coordonnateur. Selon ce dernier, cette arrestation n'est qu'une "parenthèse dans (leur) parcours". "Cela ne nous intimide pas, nous allons continuer le combat pour l’émancipation de la jeunesse africaine », dixit Fadel Barro.
Avant de revenir sur les conditions de détention. Il a ainsi précisé qu’ils n’ont pas été torturés, ni maltraités. Non sans indiquer qu’aucune charge ne pesait contre eux. «Nous avons été détenus dans un appartement avec des matelas. Quand nous avons demandé à l’administrateur de l’ANS, les chefs d’accusations qui pèsent sur nous, il nous a dit que rien ne nous a été reproché, il n’y avait aucune charge contre nous ». Et d’ajouter: «De notre cellule, on ne savait pas ce qui se passe. C’est par la suite qu’on a entendu que nous sommes accusé d’être venu en commando, des terroristes venus pour déstabiliser le pays mais il n’en est rien, nous avons été traités avec beaucoup de respect", poursuit le "Y'en a marriste".
Fadel Barro a indiqué par ailleurs qu’il ne connait pas les conditions dans lesquelles sont les autres détenus, congolais et du balaie citoyen. « Je ne sais pas dans quelles conditions sont les autres qui ont été arrêtés en même temps que nous. Et leur situation nous préoccupe. Nous allons nous mobiliser pour leur libération ». Toutefois, il tient à respecter les lois et règlement du Congo et leur statut de persona non grata dans ce pays d’où il a été expulsé en même temps que Malal Talla alias fou malade et Aliou Sané. Ainsi, dira-t-il: «Nous avons été expulsés du Congo donc nous ne pouvons pas retourner dans ce pays à moins que la mesure soit levée. Nous espérons que le président comprendra et va revenir à de meilleurs sentiments".
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