
«Le Comité directeur du Pds a dit que Macky Sall a contraint Karim Wade à un exil forcé. Nous devons mettre un terme à cet exil forcé de Karim», a déclaré Farba Senghor, le chargé de la propagande du Pds.
Et M. Senghor de poursuivre : «Il faut un rapport de force avec Macky Sall. Ce, pour pouvoir mettre fin à cet exil de Karim Wade. Mais là, il nous faut une personnalité capable de s’adresser à Macky Sall et aux Sénégalais. Abdoulaye Wade nous a toujours enseigné que dans le passé, il a soufflé le chaud et le froid. Quand il le fallait, il s’opposait au Président Abdou Diouf jusqu’à ce que les Sénégalais pensent que la corde allait se casser. C’est à ce moment-là qu’un dialogue a un sens».
A l’en croire, cette manière de faire de Wade est à l’opposé de la posture de la coalition de l’opposition dans laquelle fait partie sa formation : «Un opposant ne peut pas entrer au Palais et sortir, comme Manko Wattu Senegaal l’a fait dernièrement, dans des conditions où il n’y a véritablement aucune flamme. Donc, comme je l’ai dit, le problème que nous avons, c’est un problème de leadership au sein du Pds. Il faut qu’on impose notre leadership à nos alliés. J’appartiens à un groupe de personnes qui se battent et qui ne sortiront jamais du Pds. Eternellement, nous resterons «Wadistes». Nous ne laisserons jamais l’œuvre de Abdoulaye Wade nulle».
S’en prenant à Oumar Sarr, l’ancien ministre sous Wade réaffirme son incapacité à diriger le Pds car, «Lorsqu’on vient régulièrement en retard aux réunions de Mankoo, qu’est-ce qu’on peut gérer ? Lorsqu’on n’est pas écouté, qu’est-ce qu’on peut gérer ? Lorsque le peuple sénégalais ne sent pas la personne qui parle et qui incarne Me Abdoulaye Wade, le Pds et l’avenir du Sénégal, vous voulez que les gens votent en sa faveur ? Tout cela, il faut le réorganiser», soutient-il dans les colonnes de «L’Observateur».
Et M. Senghor de poursuivre : «Il faut un rapport de force avec Macky Sall. Ce, pour pouvoir mettre fin à cet exil de Karim Wade. Mais là, il nous faut une personnalité capable de s’adresser à Macky Sall et aux Sénégalais. Abdoulaye Wade nous a toujours enseigné que dans le passé, il a soufflé le chaud et le froid. Quand il le fallait, il s’opposait au Président Abdou Diouf jusqu’à ce que les Sénégalais pensent que la corde allait se casser. C’est à ce moment-là qu’un dialogue a un sens».
A l’en croire, cette manière de faire de Wade est à l’opposé de la posture de la coalition de l’opposition dans laquelle fait partie sa formation : «Un opposant ne peut pas entrer au Palais et sortir, comme Manko Wattu Senegaal l’a fait dernièrement, dans des conditions où il n’y a véritablement aucune flamme. Donc, comme je l’ai dit, le problème que nous avons, c’est un problème de leadership au sein du Pds. Il faut qu’on impose notre leadership à nos alliés. J’appartiens à un groupe de personnes qui se battent et qui ne sortiront jamais du Pds. Eternellement, nous resterons «Wadistes». Nous ne laisserons jamais l’œuvre de Abdoulaye Wade nulle».
S’en prenant à Oumar Sarr, l’ancien ministre sous Wade réaffirme son incapacité à diriger le Pds car, «Lorsqu’on vient régulièrement en retard aux réunions de Mankoo, qu’est-ce qu’on peut gérer ? Lorsqu’on n’est pas écouté, qu’est-ce qu’on peut gérer ? Lorsque le peuple sénégalais ne sent pas la personne qui parle et qui incarne Me Abdoulaye Wade, le Pds et l’avenir du Sénégal, vous voulez que les gens votent en sa faveur ? Tout cela, il faut le réorganiser», soutient-il dans les colonnes de «L’Observateur».
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