Ce sont les assurances du porte-parole de l’administration pénitentiaire, Saliou Ndiaye. Mais cela n’a pas été du tout facile. L’autorité compétente de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss responsabilisée, des acteurs de la direction de l’administration pénitentiaire se sont greffées à l’équipe pour apporter leur expertise en la matière. En présence de l’Observateur National des Lieux de Prévention et de Liberté (ONLPL), Boubou Diouf Tall, les détenus au nombre de 50 ont été entendus sur leurs revendications.
Les problèmes dont les fondamentaux reposent sur les longues détentions, c’est à ce stade seulement qu’un compromis à pu être trouvé pour mettre fin à la grève de la faim qui secoue la prison depuis lundi dernier.
Saliou Ndiaye qui revient sur le fumeux rapport du département américain sur les conditions de détention dans les prisons sénégalaises, ne manque pas de préciser que la question intéresse l’Etat. Ce, d’autant plus tout individu placé sous mandat de dépôt, a le droit d’être jugé. Une compétence judiciaire bien reconnue et appliqué par les institutions par la République. Mieux, au plan social, il y a une réaction sociale à tout problème qui intervient en milieu carcéral à savoir deux (2) fonctions assurées aux détenus : La réinsertion sociale et la sécurité.
Le seul hic selon le garde pénitentiaire, sur les ondes de la Rfm, les cabinets d’instruction au nombre de six (6), ne sont suffisantes pour connaître l’ensemble des dossiers en temps réel.
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