Pour Cheikh Bakhoum « Le politique doit avoir cette volonté pour que les choses se fassent. Il est important d’avoir un accélérateur et l’Etat doit jouer son rôle, voir les mécanismes, le business modèle adéquat pour davantage vulgariser le domaine. SN » a-t-il dit.
Et, sur ce plan soutient M. Bakhoum « des efforts doivent être faits pour la vulgarisation du .Sn afin que le Sénégal ait une identité numérique et que l’on puisse développer du contenu local ».
Poursuivant son intervention il a souligné sur la nécessité de construire des « data center » au Sénégal et en Afrique et non dans des pays étrangers.
Mais, pour que cela « se fasse dans nos pays, il faudra garantir une alimentation électrique abondante et améliorer la fiscalité », a fait savoir le directeur général de l’ADIE. Ajoutant qu’à l’ADIE, « nous voulons renforcer le haut débit au niveau national et actuellement nous avons 1500 kilomètre de fibre optique déployés. Nous sommes présents dans tout Dakar et dans 13 régions du Sénégal », a-t-il dit, annonçant l’installation prochaine de 3000 km de fibre.
Selon lui, si l’Etat met le cadre réglementaire, cela peut faciliter la venue des opérateurs au Sénégal pour y développer leurs affaires. « Nous avons qu’un seul fournisseur au Sénégal, cela n’est pas normal », a-t-il déploré.
A en croire le Dg de l’ADIE « l’internet est cher et si l’Etat met les infrastructures nécessaires, le coût pourrait baisser », a-t-il indiqué, plaidant également pour la mise en place de points d’échanges internet pour que les contenus soient accessibles localement.
A sa suite, le directeur général de Wiss Africa, Samba Sène, a estimé que « la question du haut débit est une orientation politique. Avant d’ajouter que si on décide politiquement d’aller vite, on le fera », a-t-dit.
Selon lui « le développement des contenus dans le monde devient de plus en plus lourd et pour y accéder, il faut avoir une connexion d’un certain débit et d’une certaine rapidité et l’Etat a son rôle à jouer dans ce sens », a relevé Samba Sène.
Et, sur ce plan soutient M. Bakhoum « des efforts doivent être faits pour la vulgarisation du .Sn afin que le Sénégal ait une identité numérique et que l’on puisse développer du contenu local ».
Poursuivant son intervention il a souligné sur la nécessité de construire des « data center » au Sénégal et en Afrique et non dans des pays étrangers.
Mais, pour que cela « se fasse dans nos pays, il faudra garantir une alimentation électrique abondante et améliorer la fiscalité », a fait savoir le directeur général de l’ADIE. Ajoutant qu’à l’ADIE, « nous voulons renforcer le haut débit au niveau national et actuellement nous avons 1500 kilomètre de fibre optique déployés. Nous sommes présents dans tout Dakar et dans 13 régions du Sénégal », a-t-il dit, annonçant l’installation prochaine de 3000 km de fibre.
Selon lui, si l’Etat met le cadre réglementaire, cela peut faciliter la venue des opérateurs au Sénégal pour y développer leurs affaires. « Nous avons qu’un seul fournisseur au Sénégal, cela n’est pas normal », a-t-il déploré.
A en croire le Dg de l’ADIE « l’internet est cher et si l’Etat met les infrastructures nécessaires, le coût pourrait baisser », a-t-il indiqué, plaidant également pour la mise en place de points d’échanges internet pour que les contenus soient accessibles localement.
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