Cette famille était sur le point de porter le combat sur un autre front pour la mémoire de leur défunt fils. « Nous étions inquiets de l’absence de réaction de la justice. Depuis décembre 2011, le juge avait publiquement déclaré qu’il allait boucler ce dossier en six mois. Et pourtant les choses paraissent simples avec notamment la sortie de Barthélémy Dias qui a reconnu ouvertement avoir tiré et tué. Je l’avoue, il y a eu des actes qui nous ont fait douter de la Justice Sénégalaise », martèle le porte-parole de la famille et oncle du défunt, Mouhamadou Lamine Thiam.
« Nous nous réjouissons de la réouverture du dossier, mais nous n’allons pas pour autant baisser les bras, nous allons continuer le combat. Et à ce propos, j’interpelle le directeur des droits humains sur le mutisme des organisations de défense des droits de l’homme. Pourquoi ce traitement particulier réservé à Barthélémy Dias, cela à l’air d’un favoritisme », s’interroge M. Thiam dans les colonnes du journal « L’Observateur ».
« Nous nous réjouissons de la réouverture du dossier, mais nous n’allons pas pour autant baisser les bras, nous allons continuer le combat. Et à ce propos, j’interpelle le directeur des droits humains sur le mutisme des organisations de défense des droits de l’homme. Pourquoi ce traitement particulier réservé à Barthélémy Dias, cela à l’air d’un favoritisme », s’interroge M. Thiam dans les colonnes du journal « L’Observateur ».
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