«Suivant avec grande attention les développements de la situation au Gabon», le président de Rewmi tient «à condamner fermement le coup de force électoral orchestré par le camp du président Sortant Ali Bongo, spoliant la victoire du candidat Jean Ping».
Dans un communiqué parvenu à pressafrik.com, Idrissa Seck appelle «avec insistance à l’arrêt des violences et de la violation des libertés démocratiques» et rejette «cette mascarade électorale contraire aux aspirations démocratiques du peuple gabonais et de leurs compatriotes africains de tous les pays craignant que ces méthodes d’un temps désormais révolu s’érigent en règle surtout à l’approche d’échéances électorales majeures sur le continent».
Invitant le Président de la République et le Gouvernement du Sénégal, «dans l’urgence, à condamner avec la plus grande fermeté cette forfaiture et à exprimer une position claire sur ce coup de force contraire à toutes les chartes et conventions dont ils sont signataires », l’ancien Premier ministre appelle par ailleurs «la communauté internationale, (la CEAC, l’Union Africaine, l’OCI, la France, les Etats-Unis et l’Union Européenne) à exprimer sans ambiguïté, leur rejet de la flagrante violation des règles démocratiques». Et «à agir de sorte à éviter toute recrudescence de la violence qui compromettrait définitivement la paix et la stabilité de la région déjà fortement touchée par l’insécurité».
Enfin, Idrissa Seck exhorte «le Président sortant Ali Bongo à la retenue dans cette période de troubles afin que la vérité des urnes puisse être, rapidement, rétablie et que le nouveau Gabon démocratique, libre et prospère puisse, urgemment, s’atteler à répondre aux nombreuses attentes du peuple gabonais frère».
Dans un communiqué parvenu à pressafrik.com, Idrissa Seck appelle «avec insistance à l’arrêt des violences et de la violation des libertés démocratiques» et rejette «cette mascarade électorale contraire aux aspirations démocratiques du peuple gabonais et de leurs compatriotes africains de tous les pays craignant que ces méthodes d’un temps désormais révolu s’érigent en règle surtout à l’approche d’échéances électorales majeures sur le continent».
Invitant le Président de la République et le Gouvernement du Sénégal, «dans l’urgence, à condamner avec la plus grande fermeté cette forfaiture et à exprimer une position claire sur ce coup de force contraire à toutes les chartes et conventions dont ils sont signataires », l’ancien Premier ministre appelle par ailleurs «la communauté internationale, (la CEAC, l’Union Africaine, l’OCI, la France, les Etats-Unis et l’Union Européenne) à exprimer sans ambiguïté, leur rejet de la flagrante violation des règles démocratiques». Et «à agir de sorte à éviter toute recrudescence de la violence qui compromettrait définitivement la paix et la stabilité de la région déjà fortement touchée par l’insécurité».
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