Au Gabon, deux anciens célèbres influenceurs revenus au pays après la chute du régime d’Ali Bongo sont désormais interdits de sortie du territoire. L’interdiction de quitter le Gabon a été décidée par un juge à Stéphane Nzeng et Landry Washington après une plainte déposée au pénal par Hervé Patrick Opiangah, un ancien proche du président déchu. Celui-ci accuse les deux activistes gabonais, devenus proches des militaires au pouvoir de diffamation, d’injures publiques et d’atteinte à son honneur.
Les faits qui fâchent Hervé Patrick Opiangah remontent à plusieurs années. En 2022, par exemple, le journaliste français Romain Molina révèle un scandale de pédophilie dans le football gabonais. Plusieurs têtes tombent et de nombreux dirigeants du football sont jetés en prison.
Stephane Nzeng, basé alors à Paris, soutient qu’Hervé Patrick Opiangah est un des prédateurs sexuels. Ce dernier était alors président d’un club de football.
Landry Washington, qui résidait aux États-Unis, ne s’est pas privé de traiter Opiangah de « violeur », « pédophile », « voyou » et « assassin qui a tué les gabonais pour maintenir les Bongo au pouvoir ».
Selon ses proches, le désormais homme politique et d’affaires Hervé Patrick Opiangah a décidé de laver son honneur et sa réputation. D’où la plainte pour injures sur la place publique et via les réseaux sociaux.
En fin de semaine dernière, les trois parties ont été entendues par un juge d’instruction qui a délivré contre les deux accusés une ordonnance d’interdiction de quitter le territoire. La date de la prochaine audience n’est pas encore connue.
Les faits qui fâchent Hervé Patrick Opiangah remontent à plusieurs années. En 2022, par exemple, le journaliste français Romain Molina révèle un scandale de pédophilie dans le football gabonais. Plusieurs têtes tombent et de nombreux dirigeants du football sont jetés en prison.
Stephane Nzeng, basé alors à Paris, soutient qu’Hervé Patrick Opiangah est un des prédateurs sexuels. Ce dernier était alors président d’un club de football.
Landry Washington, qui résidait aux États-Unis, ne s’est pas privé de traiter Opiangah de « violeur », « pédophile », « voyou » et « assassin qui a tué les gabonais pour maintenir les Bongo au pouvoir ».
Selon ses proches, le désormais homme politique et d’affaires Hervé Patrick Opiangah a décidé de laver son honneur et sa réputation. D’où la plainte pour injures sur la place publique et via les réseaux sociaux.
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