Le Gabon attend dans les prochains jours une délégation du FMI pour évaluer ses efforts dans la réduction des dépenses et la relance de son économie, alors que dans le même temps le gouvernement veut un consensus national sur ses coupes qu’ils souhaitent faire. Quasiment tous les syndicats ont confié à RFI qu’ils participent ce mardi à la rencontre convoquée par le Premier ministre même s’ils n’en connaissent pas l’ordre du jour.
Gel des recrutements et taxe de solidarité nationale
Une source proche de la primature a indiqué que la concertation portera sur les réformes initiées par le gouvernement. En d’autres termes, le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale tentera de faire accepter les mesures d’austérité adoptées par son gouvernement pour réduire le train de vie de l’État.
Il s’agit entre autres de la taxe de solidarité nationale qui réduira les gros salaires de 5 à 15 %, du licenciement de certains fonctionnaires gagne-petit, du gel des recrutements, des avancements et reclassements. Il y a aussi l’augmentation de certaines taxes pour renflouer les caisses de l’État.
Depuis l’annonce de ces mesures, tous les syndicats ou presque s’opposent farouchement à leur application. Un conseiller à la primature a reconnu que ces réformes sont difficiles, mais nécessaires pour sauver le pays maintenu sous perfusion par les bailleurs de fonds.
Gel des recrutements et taxe de solidarité nationale
Une source proche de la primature a indiqué que la concertation portera sur les réformes initiées par le gouvernement. En d’autres termes, le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale tentera de faire accepter les mesures d’austérité adoptées par son gouvernement pour réduire le train de vie de l’État.
Il s’agit entre autres de la taxe de solidarité nationale qui réduira les gros salaires de 5 à 15 %, du licenciement de certains fonctionnaires gagne-petit, du gel des recrutements, des avancements et reclassements. Il y a aussi l’augmentation de certaines taxes pour renflouer les caisses de l’État.
Depuis l’annonce de ces mesures, tous les syndicats ou presque s’opposent farouchement à leur application. Un conseiller à la primature a reconnu que ces réformes sont difficiles, mais nécessaires pour sauver le pays maintenu sous perfusion par les bailleurs de fonds.
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