La cérémonie officielle de la 142e édition du Gamou de Ndiassane s’est tenu ce jeudi. Lors de l’événement, le ministre de l’Agriculture, Dr Mabouba Diagne, a affirmé que « l’État du Sénégal réaffirme solennellement son engagement indéfectible à garantir la liberté de culte et à accompagner toutes les communautés religieuses dans l’épanouissement de leur foi et de leurs activités cultuelles ». Il représentait à cette occasion le président de la République Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko.
Dans son discours, il a relié le thème de cette édition « Voilà ceux qu’Allah a guidés, suis donc leur direction » — aux enjeux actuels du pays. « Suivre la guidance divine dans le contexte actuel, c’est puiser dans les valeurs de justice, de probité, de solidarité et de travail qui ont toujours caractérisé l’éthos sénégalais », a-t-il déclaré, en évoquant les défis économiques, sociaux et sécuritaires.
Le ministre a tenu à rappeler la place des confréries dans la construction nationale. « Votre contribution à la paix sociale, à la cohésion nationale et à l’éducation des consciences constitue un pilier essentiel de notre stabilité démocratique », a-t-il souligné. Selon lui, l’islam sénégalais, tolérant et ouvert au dialogue, constitue un rempart face aux tentatives d’extrémisme qui cherchent à dénaturer le message religieux.
Il a particulièrement salué la tariqa khadriya, qui a, selon ses termes, su préserver et transmettre l’héritage prophétique en enseignant que « suivre la guidance divine, c’est marcher sur les traces du Prophète (PSL) avec sincérité et détermination ». Pour lui, cette célébration religieuse est « la fierté du patrimoine spirituel national » et illustre « l’enracinement profond de l’islam dans nos terroirs ».
Dans son discours, il a relié le thème de cette édition « Voilà ceux qu’Allah a guidés, suis donc leur direction » — aux enjeux actuels du pays. « Suivre la guidance divine dans le contexte actuel, c’est puiser dans les valeurs de justice, de probité, de solidarité et de travail qui ont toujours caractérisé l’éthos sénégalais », a-t-il déclaré, en évoquant les défis économiques, sociaux et sécuritaires.
Le ministre a tenu à rappeler la place des confréries dans la construction nationale. « Votre contribution à la paix sociale, à la cohésion nationale et à l’éducation des consciences constitue un pilier essentiel de notre stabilité démocratique », a-t-il souligné. Selon lui, l’islam sénégalais, tolérant et ouvert au dialogue, constitue un rempart face aux tentatives d’extrémisme qui cherchent à dénaturer le message religieux.
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