Alors que plusieurs pays occidentaux ont reconnu ou reconnaîtront un État palestinien, Benjamin Netanyahu a assuré vouloir présenté "la vérité d'Israël" lors de l'Assemblée des Nations unies.
C'est une reconnaissance ayant pour objectif visant à mettre un terme au génocide palestinien. Après l'Espagne, l'Irlande et la Norvège le 28 mai 2024, le Royaume-Uni, le Portugal, l'Australie et le Canada ont fait un pas historique, dimanche 21 septembre, en reconnaissance officiellement État palestinien.
Ce lundi, la France, la Belgique, Andorre, le Luxembourg, Malte et Saint-Marin vont rejoindre la liste, à l'occasion de l'Assemblée générale des Nations unies, qui se tient à New York.
Sur les 193 membres de l'ONU, une quarantaine seulement ne reconnaissent pas l'État palestinien, les États-Unis et Israël en tête. D'autres pays, alliés de l'un ou de l'autre, refusent également de franchir le pas. C'est notamment le cas du Japon, de la Corée du Sud, du Cameroun, du Panama ou de la plupart des pays d'Océanie.
Netanyahu veut "la paix par la force"
Si la reconnaissance d'un État de Palestine est largement symbolique et politique, cela permet d'accentuer la pression internationale sur Israël et Benjamin Netanyahu. Le Premier ministre de l'État hébreu a d'ailleurs haussé le ton dans une vidéo, publiée ce dimanche, adressée aux dirigeants occidentaux.
"J'ai un message clair pour les dirigeants qui reconnaissent un État palestinien. [...] Vous offrez une récompense énorme au terrorisme", a-t-il assuré. "J'ai un autre message pour vous : cela n'arrivera pas. Aucun État Palestinien ne verra le jour à l'ouest du Jourdain", a-t-il également déclaré. "Nous avons doublé les implantations juives en Judée et en Samarie [nom donné par Israël à la Cisjordanie] et nous continuerons dans cette voie", a-t-il ensuite menacé.
C'est une reconnaissance ayant pour objectif visant à mettre un terme au génocide palestinien. Après l'Espagne, l'Irlande et la Norvège le 28 mai 2024, le Royaume-Uni, le Portugal, l'Australie et le Canada ont fait un pas historique, dimanche 21 septembre, en reconnaissance officiellement État palestinien.
Ce lundi, la France, la Belgique, Andorre, le Luxembourg, Malte et Saint-Marin vont rejoindre la liste, à l'occasion de l'Assemblée générale des Nations unies, qui se tient à New York.
Sur les 193 membres de l'ONU, une quarantaine seulement ne reconnaissent pas l'État palestinien, les États-Unis et Israël en tête. D'autres pays, alliés de l'un ou de l'autre, refusent également de franchir le pas. C'est notamment le cas du Japon, de la Corée du Sud, du Cameroun, du Panama ou de la plupart des pays d'Océanie.
Netanyahu veut "la paix par la force"
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"J'ai un message clair pour les dirigeants qui reconnaissent un État palestinien. [...] Vous offrez une récompense énorme au terrorisme", a-t-il assuré. "J'ai un autre message pour vous : cela n'arrivera pas. Aucun État Palestinien ne verra le jour à l'ouest du Jourdain", a-t-il également déclaré. "Nous avons doublé les implantations juives en Judée et en Samarie [nom donné par Israël à la Cisjordanie] et nous continuerons dans cette voie", a-t-il ensuite menacé.
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