La Coalition des organisations de la société civile pour la transparence dans les ressources minérales au Sénégal "Publiez ce que vous payez" (PCQVP) se réjouit du discours du Président Bassirou Diomaye Faye sur la gouvernance des ressources naturelles. L’ONG s’attend à une transparence sur la publication de l’ensemble des contrats en vigueur.
« Le discours nous rassure parce que ce sont des exigences de gouvernance au niveau mondial ensuite au niveau national sont restés des revendications durant ces 12 années », a dit Demba Seydi, Coordinateur Régional Senior de L'ONG "Publiez ce que vous payez" (PCQVP) en Afrique francophone (ouest et centre).
D’après lui, il est important d’abord « qu’on puisse faire l’état des lieux de l’ensemble des contrats et licences qui ont été attribués aux industries ou aux compagnies multinationales de sorte que l’on puisse analyser deux éléments fondamentalement ».
« Nous avions toujours pensé qu’il y a un déséquilibre dans les contrats, qui a faussé la totalité de la chaîne de valeur. Le deuxième élément est lié aux obligations légales et contractuelles des différentes parties », a-t-il expliqué sur I-radio.
Pour M. Seydi, les compagnies ont des obligations dont elles ne s’acquittent pas y compris des obligations fiscales, sociales et environnementales. Ensuite, sur la question de la publication des contrats, poursuit-il, la « démocratie économique voudrait que l’ensemble des contrats qui ont été signés entre les différentes parties soient publiés pour que les citoyens puissent apprécier jusqu’à quel niveau l’exploitation des ressources naturelles impactent sur leur vie et qu’est-ce que l’économie sénégalaise peut tirer de ces contrats-là », a-t-il souligné.
« Et malheureusement, jusqu’à présent, c’est à ce niveau-là que nous avons manqué de vigilance », a ajouté le Coordinateur Régional Senior de l'ONG "Publiez ce que vous payez".
À l’en croire, il est « important et urgent même pour que le Sénégal puisse tirer davantage de profit de ces industries extractives pour que ces dernières profitent aux populations ».
« Le discours nous rassure parce que ce sont des exigences de gouvernance au niveau mondial ensuite au niveau national sont restés des revendications durant ces 12 années », a dit Demba Seydi, Coordinateur Régional Senior de L'ONG "Publiez ce que vous payez" (PCQVP) en Afrique francophone (ouest et centre).
D’après lui, il est important d’abord « qu’on puisse faire l’état des lieux de l’ensemble des contrats et licences qui ont été attribués aux industries ou aux compagnies multinationales de sorte que l’on puisse analyser deux éléments fondamentalement ».
« Nous avions toujours pensé qu’il y a un déséquilibre dans les contrats, qui a faussé la totalité de la chaîne de valeur. Le deuxième élément est lié aux obligations légales et contractuelles des différentes parties », a-t-il expliqué sur I-radio.
Pour M. Seydi, les compagnies ont des obligations dont elles ne s’acquittent pas y compris des obligations fiscales, sociales et environnementales. Ensuite, sur la question de la publication des contrats, poursuit-il, la « démocratie économique voudrait que l’ensemble des contrats qui ont été signés entre les différentes parties soient publiés pour que les citoyens puissent apprécier jusqu’à quel niveau l’exploitation des ressources naturelles impactent sur leur vie et qu’est-ce que l’économie sénégalaise peut tirer de ces contrats-là », a-t-il souligné.
« Et malheureusement, jusqu’à présent, c’est à ce niveau-là que nous avons manqué de vigilance », a ajouté le Coordinateur Régional Senior de l'ONG "Publiez ce que vous payez".
À l’en croire, il est « important et urgent même pour que le Sénégal puisse tirer davantage de profit de ces industries extractives pour que ces dernières profitent aux populations ».
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