Le maire de Mermoz Sacré-Cœur, Barthélémy Dias, a invité ceux qui croient en l’Etat de droit, de « quitter la table du dialogue politique », lancé le 28 mai par le président Macky Sall, après la sortie sur Rfi de ce dernier à propos de la grâce de l’ex-maire de Dakar, Khalifa Sall, emprisonné depuis mars 2017 pour détournement de deniers publics estimés à 1,8 milliard fcfa.
« J'invite encore ceux qui croient en l'Etat de droit, a quitter la table du dialogue politique pour dénoncer cette vulgaire agression contre la liberté et la démocratie. On a refusé, on refuse, on refusera. Le compromis, le chantage et la supercherie », a écrit M. Dias sur sa page facebook.
Dans un entretien accordé à Rfi, Macky Sall s’est exprimé sur le cas de Khalifa Sall dont beaucoup de sénégalais souhaitait une grâce présidentielle lors de la précédente Tabaski. Mais ses propos n’ont pas été appréciés par les proches de l’ex-édile de la capitale sénégalaise.
« D’abord, la décrispation ne saurait être réduite à une dimension de grâce. La grâce est un pouvoir constitutionnel du président de la République. Ça ne dépend que de lui, et de lui tout seul, et de son appréciation. Donc je ne peux pas discuter de ce que dit la presse par rapport à la grâce », a répondu le président Sall.
Et d’ajouter : « Le jour où j’en aurai la volonté ou le désir, je le ferai comme j’ai eu à le faire. Annuellement, plus de cent personnes, voire un millier de personnes par an en moyenne bénéficient de la grâce. Justement, nous voulons revoir notre système pénal pour réduire le nombre de personnes en prison dans ce cadre-là ».
« J'invite encore ceux qui croient en l'Etat de droit, a quitter la table du dialogue politique pour dénoncer cette vulgaire agression contre la liberté et la démocratie. On a refusé, on refuse, on refusera. Le compromis, le chantage et la supercherie », a écrit M. Dias sur sa page facebook.
Dans un entretien accordé à Rfi, Macky Sall s’est exprimé sur le cas de Khalifa Sall dont beaucoup de sénégalais souhaitait une grâce présidentielle lors de la précédente Tabaski. Mais ses propos n’ont pas été appréciés par les proches de l’ex-édile de la capitale sénégalaise.
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