Plus de 35 familles de la cité Millionnaire de Grand Yoff sont menacées d’expulsion. Pour cause, leurs noms ne figurent pas sur les titres fonciers. Ils ont fait à la presse pour mettre en place un cadre de concertation pour réfléchir sur leur situation et alerter l'opinion.
« Mon père dit être concerné par la demande d'expulsion à l’heure actuelle. A tout moment ils peuvent nous expulser. Contrairement à ce qu’ils nous ont dit, que la maison, à laquelle nous habitons aujourd’hui ne nous appartient plus. Au Sénégal, il est dit que la propriété foncière s’explique par ce qu’on appelle le titre foncier. Dans le titre foncier, il n’est pas marqué le nom de mon père. Il est marqué le nom du propriétaire actuel », explique Samba Diagne fils d’une des victimes.
Abdoul Malki Bousso, président du conseil du quartier de la cité millionnaire, informe que: « c’est depuis 1976 que les gens ont loti, ont vendu et les populations ont acheté. Une procédure qui ne date pas d’aujourd’hui. Ce n’est qu’en 1998 que l’Etat a extrait du titre mère, les titres lotis. Ce qui a fait l’audition des titres attachés à ces parcelles-là. Malheureusement, ceux qui ont vendu, certains sont décédés. Dans les successions, certains héritiers, ont pris possession des titres émis et les ont utilisé à leur convenant»
Ils comptent mettre en place un collectif pour aller à la rescousse de ces victimes
« Mon père dit être concerné par la demande d'expulsion à l’heure actuelle. A tout moment ils peuvent nous expulser. Contrairement à ce qu’ils nous ont dit, que la maison, à laquelle nous habitons aujourd’hui ne nous appartient plus. Au Sénégal, il est dit que la propriété foncière s’explique par ce qu’on appelle le titre foncier. Dans le titre foncier, il n’est pas marqué le nom de mon père. Il est marqué le nom du propriétaire actuel », explique Samba Diagne fils d’une des victimes.
Abdoul Malki Bousso, président du conseil du quartier de la cité millionnaire, informe que: « c’est depuis 1976 que les gens ont loti, ont vendu et les populations ont acheté. Une procédure qui ne date pas d’aujourd’hui. Ce n’est qu’en 1998 que l’Etat a extrait du titre mère, les titres lotis. Ce qui a fait l’audition des titres attachés à ces parcelles-là. Malheureusement, ceux qui ont vendu, certains sont décédés. Dans les successions, certains héritiers, ont pris possession des titres émis et les ont utilisé à leur convenant»
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