L’ancien directeur de l’hôpital Abass Ndao et de « Dalal Jamm », Dr Youssou Ndiaye a fait de graves révélations. Il a informé qu’ : «il y a des problèmes d’exercice d’activités privées illégales dans les hôpitaux et des problèmes d’insécurité quelque part dans la prise en charge des malades». Parce que, a-t-il souligné : «on se rend compte que ce ne sont pas des professionnels qui s’occupent des malades».
Le chirurgien-dentiste, de préciser, dans une interview avec le Journal « Vox Populi », que tous ces problèmes que gangrènent les hôpitaux : "ne sont pas seulement liés aux urgences, mais ils sont dus au mode d’administration et au rôle de la tutelle ». Avant d'ajouter : «la tutelle est la cause de tous les problèmes que rencontrent les établissements sanitaires».
«Dans les hôpitaux, le principe qui dispense de tout contrôle est bafoué par la tutelle. Le budget est voté par le Conseil d’administration. Quand ces personnes se réunissent pour voter le budget-après l’avoir étudié, approuvé, voté à l’unanimité ou à la majorité, c ‘est à ce moment-là seulement que la tutelle se permet de dire que ce budget n’est pas exécutable tant qu’il ne l’a pas approuvé», a-t-il expliqué. Or, a-t-il souligné, «le budget, par définition, c’est la traduction financière du plan d’actions».
L’ancien directeur de l’hôpital Abass Ndao est revenu sur ce qui ‘ s’est passé à Pikine à propos de la mort de la jeune Aïssatou Diallo. Pour lui, ce n'était que des «problèmes d’urgences». Mais, en réalité, a-t-il conclu, «il y a des problèmes d’exercice d’activités privées illégales dans les hôpitaux».
Le chirurgien-dentiste, de préciser, dans une interview avec le Journal « Vox Populi », que tous ces problèmes que gangrènent les hôpitaux : "ne sont pas seulement liés aux urgences, mais ils sont dus au mode d’administration et au rôle de la tutelle ». Avant d'ajouter : «la tutelle est la cause de tous les problèmes que rencontrent les établissements sanitaires».
«Dans les hôpitaux, le principe qui dispense de tout contrôle est bafoué par la tutelle. Le budget est voté par le Conseil d’administration. Quand ces personnes se réunissent pour voter le budget-après l’avoir étudié, approuvé, voté à l’unanimité ou à la majorité, c ‘est à ce moment-là seulement que la tutelle se permet de dire que ce budget n’est pas exécutable tant qu’il ne l’a pas approuvé», a-t-il expliqué. Or, a-t-il souligné, «le budget, par définition, c’est la traduction financière du plan d’actions».
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