Tom Perriello espère une reprise des négociations le 18 avril prochain. L’envoyé spécial américain pour le Soudan estime qu’une opportunité se profile avec la conférence de Paris centrée sur la situation humanitaire prévue le 15. « Elle pourrait facilement créer un élan naturel en vue d’un retour à Jeddah, si les Saoudiens acceptent de tenir des négociations inclusives », a indiqué le diplomate.
Les négociations de Jeddah sont au point mort depuis des mois. Elles avaient à plusieurs reprises permis d’arracher des cessez-le-feu mais aucun n’avait tenu pour l’instant. Il faut dire qu’aucun camp ne participait de façon réellement sincère, chaque camp espérant pouvoir l’emporter de façon décisive sur le plan militaire.
Les négociations n’entraient donc jamais dans le fond du problème et restaient surtout centrées sur l’humanitaire. Mais cette fois, Tom Perriello estime que la situation sur le terrain est propice, notamment du fait qu’aucun camp ne prenne le dessus sur l’autre et qu’une famine soit en cours.
L’envoyé spécial américain souhaite aussi élargir les participants à l’ONU, l’Union africaine, l’Igad, qui toutes trois ont également nommé des envoyés spéciaux pour le Soudan, mais aussi l’Égypte et les Émirats qui ont une forte influence sur le conflit.
Les négociations de Jeddah sont au point mort depuis des mois. Elles avaient à plusieurs reprises permis d’arracher des cessez-le-feu mais aucun n’avait tenu pour l’instant. Il faut dire qu’aucun camp ne participait de façon réellement sincère, chaque camp espérant pouvoir l’emporter de façon décisive sur le plan militaire.
Les négociations n’entraient donc jamais dans le fond du problème et restaient surtout centrées sur l’humanitaire. Mais cette fois, Tom Perriello estime que la situation sur le terrain est propice, notamment du fait qu’aucun camp ne prenne le dessus sur l’autre et qu’une famine soit en cours.
L’envoyé spécial américain souhaite aussi élargir les participants à l’ONU, l’Union africaine, l’Igad, qui toutes trois ont également nommé des envoyés spéciaux pour le Soudan, mais aussi l’Égypte et les Émirats qui ont une forte influence sur le conflit.
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