Un premier contingent nigérien arrive ce vendredi, mais le nombre n’a pas été révélé. Il sera installé au centre d’instruction militaire de Kamerhe, à trente-cinq kilomètres de Bissau. Le site peut abriter 300 hommes.
Le second site choisi est le centre de formation de la police de Joalandi à vingt kilomètres de Bissau. D’autres lieux pourront être aménagés selon les autorités mais la plupart des casernes du pays sont dans un état de dégradation très avancé, d’où la nécessite de trouver des fonds pour les rendre habitables.
L’arrivée de cette force est sur toutes les langues, dans les lieux de travail, dans les quartiers et les coins de rues, souvent transformés en stations de lavage de voitures.
Pour ces jeunes chauffeurs de taxi, qui doutent de la capacité réelle des soldats nigériens, cette force ne résoudra pas le problème : « En termes de stabilité, je pense que cette force ne saura pas résoudre le problème. Ce sera pire ! La Missang [Mission militaire technique angolaise pour l'Assistance et la Réforme, NDLR] était ici, cela n’a rien changé. Au contraire, elle crée une crise, une polémique. Je crois que ce sera la même chose avec cette force d’attente ».
Une des missions de cette force est de garantir la protection des personnalités du gouvernement, des édifices publics, et faciliter le retrait des troupes angolaises présentes dans le pays depuis mars 2011.
Source: RFI
Le second site choisi est le centre de formation de la police de Joalandi à vingt kilomètres de Bissau. D’autres lieux pourront être aménagés selon les autorités mais la plupart des casernes du pays sont dans un état de dégradation très avancé, d’où la nécessite de trouver des fonds pour les rendre habitables.
L’arrivée de cette force est sur toutes les langues, dans les lieux de travail, dans les quartiers et les coins de rues, souvent transformés en stations de lavage de voitures.
Pour ces jeunes chauffeurs de taxi, qui doutent de la capacité réelle des soldats nigériens, cette force ne résoudra pas le problème : « En termes de stabilité, je pense que cette force ne saura pas résoudre le problème. Ce sera pire ! La Missang [Mission militaire technique angolaise pour l'Assistance et la Réforme, NDLR] était ici, cela n’a rien changé. Au contraire, elle crée une crise, une polémique. Je crois que ce sera la même chose avec cette force d’attente ».
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