C’est une bonne demi-douzaine de responsables de la société civile qui ont été interpellés samedi 12 octobre au soir. Après six heures de garde à vue à la direction de la police judiciaire, ces principaux responsables de la société civile membres du Front national pour la défense de la Constitution ont été interrogés pendant quatre heures avant d’être emmenés sous bonne escorte à bord de pick-up de la police vers une destination inconnue.
Abdourahmane Sanoh et ses compagnons sont accusés par la police de trouble à l’ordre public, de propos incitatifs à la révolte et à l’insurrection, ce qu’ils ont systématiquement rejeté, selon leur conseil, maître Salifou Béavogui.
Parmi les interpellés, il y a le frère de Sanoh, Mamoudou dont le seul tort est d’avoir cherché à localiser le lieu de détention de son aîné et coordinateur du front, toujours selon l’avocat, qui ajoute « mes clients sont sereins et déterminés malgré les tortures morales dont ils font l’objet ».
Abdourahmane Sanoh et ses compagnons sont accusés par la police de trouble à l’ordre public, de propos incitatifs à la révolte et à l’insurrection, ce qu’ils ont systématiquement rejeté, selon leur conseil, maître Salifou Béavogui.
Parmi les interpellés, il y a le frère de Sanoh, Mamoudou dont le seul tort est d’avoir cherché à localiser le lieu de détention de son aîné et coordinateur du front, toujours selon l’avocat, qui ajoute « mes clients sont sereins et déterminés malgré les tortures morales dont ils font l’objet ».
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