Avec près de 3 millions de personnes concernées, l’hypertension artérielle inquiète de plus en plus. C’est ce qu’affirme le docteur Souleymane Dièye, chef du service de cardiologie à l’hôpital El Hadji Ibrahima Niasse de Kaolack, qui est particulièrement concerné. «64% de nos consultations en cardiologie sont liées à l’hypertension et 60% de nos hospitalisations sont dues à cette pathologie. En réalité elle occupe 2/3 de nos activités quotidiennes».
Mais cette maladie, est largement méconnue de la population, malgré tous les risque qu’elle lui fait encourir : «Cette maladie est une affliction largement méconnue de la population sénégalaise et qui engendre des complications cardiovasculaire, cérébraux vasculaires et rénales graves, avec une prévalence forte dans le monde avec près de 1 milliards d’hypertendus, quasiment près de 3 millions en souffrent au Sénégal», a déclaré Ousmane Dièye, membre de la société Sénégalaise de cardiologie.
Ces chiffres inquiétants ont fait réagir les autorités sanitaires qui ont initié cet atelier de formation qui a noté la participation d’Issa Barry, directeur des ventes au niveau des laboratoire Ajanta Pharma qui a tenue à expliquer les raisons de leur participation : «Nous avons répondu parce que, quelque part, nous sommes impliqués dans la prise en charge de cette pathologie par le seul fait que nous avons des médicaments adaptés à cette pathologie. Et ce que nous tenons à faire maintenant c’est de former les médecins», a-t-il indiqué.
Malgré les risques qu’elle entraîne avec elle, beaucoup de structures sanitaires n’ont pas les moyens de prendre en charge correctement les hypertendus. Ce qui devrait alerter les autorités étatiques, car avec 3 millions de personnes concernées, l’hypertension artérielle fait partie des pathologies qui touchent le plus la population sénégalaise.
Mais cette maladie, est largement méconnue de la population, malgré tous les risque qu’elle lui fait encourir : «Cette maladie est une affliction largement méconnue de la population sénégalaise et qui engendre des complications cardiovasculaire, cérébraux vasculaires et rénales graves, avec une prévalence forte dans le monde avec près de 1 milliards d’hypertendus, quasiment près de 3 millions en souffrent au Sénégal», a déclaré Ousmane Dièye, membre de la société Sénégalaise de cardiologie.
Ces chiffres inquiétants ont fait réagir les autorités sanitaires qui ont initié cet atelier de formation qui a noté la participation d’Issa Barry, directeur des ventes au niveau des laboratoire Ajanta Pharma qui a tenue à expliquer les raisons de leur participation : «Nous avons répondu parce que, quelque part, nous sommes impliqués dans la prise en charge de cette pathologie par le seul fait que nous avons des médicaments adaptés à cette pathologie. Et ce que nous tenons à faire maintenant c’est de former les médecins», a-t-il indiqué.
Malgré les risques qu’elle entraîne avec elle, beaucoup de structures sanitaires n’ont pas les moyens de prendre en charge correctement les hypertendus. Ce qui devrait alerter les autorités étatiques, car avec 3 millions de personnes concernées, l’hypertension artérielle fait partie des pathologies qui touchent le plus la population sénégalaise.
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