
Le Syndicat autonome des travailleurs de l’Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal (IPRES) tire la sonnette d’alarme sur une "gestion déstructurée et opaque" qu’il qualifie de "suicidaire" pour l’institution. Dans un communiqué, les agents dénoncent les "dérives inacceptables" des dirigeants, notamment le Président du Conseil d’Administration (PCA) et le Directeur Général, accusés de "narguer la tutelle" tout en poursuivant des "recrutements massifs irréguliers".
Selon le syndicat, les instances dirigeantes de l’IPRES "ne devraient plus être en place depuis longtemps dans un État normal soucieux de crédibilité et de transparence". Les employés déplorent une "mainmise totale" du PCA, qui aurait "placé ses parents, militants et obligés à tous les postes stratégiques", au mépris de "toute rationalité, compétence ou probité".
Les bureaux de l’IPRES, notamment ceux du Point E abritant les directions techniques, seraient "surpeuplés" en raison de ces "embauches intempestives". Le syndicat affirme que "deux travailleurs doivent désormais se partager un même poste" pour absorber un "effectif pléthorique et inutile", recruté "sans aucune articulation avec les besoins réels de l’institution".
Le texte dépeint une organisation en "désorganisation structurelle", où "la loyauté va à un homme et non à l’institution". Les agents dénoncent une "hiérarchie aux ordres", dépourvue de "légitimité et d’autorité", face à un personnel "désabusé" qui a perdu foi en un système où "le mérite n’est plus un critère d’avancement".
Le syndicat interpelle les "autorités gouvernementales", dont l’"attentisme" et le "déficit d’autorité" équivaudraient, selon lui, à une "non-assistance à institution en péril". Il dénonce des "compromissions inacceptables" et exige une intervention immédiate pour "sauver l’IPRES d’une gestion catastrophique".
Selon le syndicat, les instances dirigeantes de l’IPRES "ne devraient plus être en place depuis longtemps dans un État normal soucieux de crédibilité et de transparence". Les employés déplorent une "mainmise totale" du PCA, qui aurait "placé ses parents, militants et obligés à tous les postes stratégiques", au mépris de "toute rationalité, compétence ou probité".
Les bureaux de l’IPRES, notamment ceux du Point E abritant les directions techniques, seraient "surpeuplés" en raison de ces "embauches intempestives". Le syndicat affirme que "deux travailleurs doivent désormais se partager un même poste" pour absorber un "effectif pléthorique et inutile", recruté "sans aucune articulation avec les besoins réels de l’institution".
Le texte dépeint une organisation en "désorganisation structurelle", où "la loyauté va à un homme et non à l’institution". Les agents dénoncent une "hiérarchie aux ordres", dépourvue de "légitimité et d’autorité", face à un personnel "désabusé" qui a perdu foi en un système où "le mérite n’est plus un critère d’avancement".
Le syndicat interpelle les "autorités gouvernementales", dont l’"attentisme" et le "déficit d’autorité" équivaudraient, selon lui, à une "non-assistance à institution en péril". Il dénonce des "compromissions inacceptables" et exige une intervention immédiate pour "sauver l’IPRES d’une gestion catastrophique".
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