El Hadj Kassé a répondu à ceux qui reprochent au chef de l’Etat de ne pas avoir respecté sa promesse de réduire son mandat de 7 à 5 ans. Selon le ministre conseiller de Macky Sall qui assistait à un panel sur le référendum, le Président a fait ce qui lui était possible de faire avec la soumission de son projet au Conseil constitutionnel. Et il n’en est pour rien si ce dernier a accusé une fin de non-recevoir.
«Il a respecté son engagement. Parce que respecter son engagement en République, c’est respecter la légalité républicaine. Le Président a dit : «Je suis prêt à m’appliquer cette disposition », il l’ proposé au Conseil constitutionnel, le Conseil constitutionnel a dit que cela ne correspond pas à la Constitution. Que ce soit avis ou décision, il a décidé de se soumettre à l’avis du Conseil constitutionnel», a-t-il déclaré.
A ceux qui soutiennent que le chef de l’Etat n’a pas consulté autour des réformes qui seront soumises au vote du peuple ce 20 mars, El Hadj Hadj Kassé rétorque : « Le président de la République a effectivement mis en place une commission que l’on appelle la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) qui était chargée de recueillir les avis, les propositions et les suggestions de l’ensemble des forces vives de la Nation, les partis politiques, la société civile, les groupements socio-professionnels dans le but d’apporter des améliorations à notre Constitution pour la consolidation des notions et de l’Etat de droit».
Abdou Fall, le président de la Convergence plurielle qui assistait à ce panel s’est appesanti sur la question de la laïcité pour dire que : «Le Sénégal exerce un modèle de laïcité qui fait aujourd’hui de notre pays, un modèle de sérénité, d’ouverture, de tolérance qui force le respect du monde entier. Et cet acquis de la société sénégalaise, aucun esprit malfaisant ne peut le remettre en question».
«Il a respecté son engagement. Parce que respecter son engagement en République, c’est respecter la légalité républicaine. Le Président a dit : «Je suis prêt à m’appliquer cette disposition », il l’ proposé au Conseil constitutionnel, le Conseil constitutionnel a dit que cela ne correspond pas à la Constitution. Que ce soit avis ou décision, il a décidé de se soumettre à l’avis du Conseil constitutionnel», a-t-il déclaré.
A ceux qui soutiennent que le chef de l’Etat n’a pas consulté autour des réformes qui seront soumises au vote du peuple ce 20 mars, El Hadj Hadj Kassé rétorque : « Le président de la République a effectivement mis en place une commission que l’on appelle la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) qui était chargée de recueillir les avis, les propositions et les suggestions de l’ensemble des forces vives de la Nation, les partis politiques, la société civile, les groupements socio-professionnels dans le but d’apporter des améliorations à notre Constitution pour la consolidation des notions et de l’Etat de droit».
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