L’université Assane de de Ziguinchor a abrité, mercredi, la célébration de la Journée internationale des droits de l’homme dont le thème de cette année porte notamment sur « la promotion des valeurs citoyennes et le respect des libertés fondamentales ».
Le choix de Ziguinchor pour accueillir la manifestation s’explique par « la résilience d’une région longtemps marquée par la crise » ainsi que par « la vitalité de sa jeunesse universitaire, véritable levier pour la diffusion de la culture des droits humains », a indiqué à l’APS le directeur des droits humains, Julien Ngane Diouf.
« L’université n’est pas seulement un espace d’enseignement, mais un lieu de formation citoyenne. Pour bâtir le Sénégal de demain, il faut conscientiser et former la jeunesse à ces valeurs fondamentales », a-t-il martelé en présence des étudiants, des autorités académiques et administratives de la région.
Interpellé sur la situation des droits humains au Sénégal, M. Diouf a souligné qu’à l’image de nombreux pays, des défis persistent au Sénégal, assurant toutefois que « les autorités sénégalaises sont conscientes que les droits humains demeurent une priorité ».
Le directeur des droits humains, un organe logé au ministère de la Justice, s’est attardé sur les réformes engagées en matière de transparence et de gouvernance.
L’adjoint du gouverneur de Ziguinchor chargé du développement, Alsény Bangoura a souligné l’importance de commémorer cette journée -célébrée le 10 décembre de chaque année- dans une région où « les questions de droits humains restent particulièrement sensibles ».
Il a par exemple évoqué « l’accès à l’éducation, à la santé dans les zones récemment pacifiées ainsi que la gestion de « l’afflux important de migrants ».
L’autorité administrative a aussi rappelé l’obligation de respecter « les textes internationaux ratifiés par le Sénégal », notamment en matière de protection des personnes en mobilité.
Les droits humains constituent « le socle indispensable à la reconstruction et au développement durable », a estimé le recteur de l’Université Assane Seck de Ziguinchor.
Alassane Diédhiou a aussi insisté sur la nécessité d’accorder une « attention particulière » aux couches les plus vulnérables qui doivent « pleinement bénéficier de la protection des droits humains. »
Le choix de Ziguinchor pour accueillir la manifestation s’explique par « la résilience d’une région longtemps marquée par la crise » ainsi que par « la vitalité de sa jeunesse universitaire, véritable levier pour la diffusion de la culture des droits humains », a indiqué à l’APS le directeur des droits humains, Julien Ngane Diouf.
« L’université n’est pas seulement un espace d’enseignement, mais un lieu de formation citoyenne. Pour bâtir le Sénégal de demain, il faut conscientiser et former la jeunesse à ces valeurs fondamentales », a-t-il martelé en présence des étudiants, des autorités académiques et administratives de la région.
Interpellé sur la situation des droits humains au Sénégal, M. Diouf a souligné qu’à l’image de nombreux pays, des défis persistent au Sénégal, assurant toutefois que « les autorités sénégalaises sont conscientes que les droits humains demeurent une priorité ».
Le directeur des droits humains, un organe logé au ministère de la Justice, s’est attardé sur les réformes engagées en matière de transparence et de gouvernance.
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