Abdoulaye Wade n’a aucune chance de remporter les joutes présidentielles de 2012, semble penser le journaliste écrivain, Abdou Latif Coulibaly. Pour lui, «la seule condition favorable pour sa réélection c’est qu’on tripatouille les élections. «Objectivement il n’y a aucune condition favorable à la réélection du Président Abdoulaye Wade.» a-t-il fait savoir ce dimanche 14 mars au cours de l’émission Grand Jury de la Rfm. Selon lui, même si Benno Siggil Senegaal s’entendait sur une candidature unique et qu’on n’a pas les conditions de 2000 pour faire une élection libre et transparente, il n’y aurait pas eu problème.
«Je m’étonne d’ailleurs que la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) soit préoccupée particulièrement par la présence des partis politiques dans les élections. Cette présence n’est pas obligatoire» a-t-il indiqué.
Le Dirpub de «la Gazette» de renseigner: «la garantie de la transparence des élections ne doit pas être assurée par les partis politiques. Si aujourd’hui la CENA fait correctement son travail on peut avoir des élections transparentes. Parce que, ce que demande aujourd’hui l’opposition (l’audite du fichier), c’est la CENA qui aurait du le demander». Parce que, de son avis, c’est la CENA qui a l’obligation de faire auditer le fichier et non pas les partis politiques.
C’est une mauvaise compréhension de la loi. Elle ne l’a jamais demandé et manifestement ne s’en préoccupe pas. Il a fait comprendre que «la CENA n’est pas là simplement pour contrôler les opérations de vote. Elle est chargée d’auditer même le fichier si elle pense que cette question là est majeure. Elle a le pouvoir pour le faire».
«Je m’étonne d’ailleurs que la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) soit préoccupée particulièrement par la présence des partis politiques dans les élections. Cette présence n’est pas obligatoire» a-t-il indiqué.
Le Dirpub de «la Gazette» de renseigner: «la garantie de la transparence des élections ne doit pas être assurée par les partis politiques. Si aujourd’hui la CENA fait correctement son travail on peut avoir des élections transparentes. Parce que, ce que demande aujourd’hui l’opposition (l’audite du fichier), c’est la CENA qui aurait du le demander». Parce que, de son avis, c’est la CENA qui a l’obligation de faire auditer le fichier et non pas les partis politiques.
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