
L'enquête n'a pas tardé à démarrer. Quelques heures après l'incendie qui a embrasé la cathédrale de Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, un bénévole du diocèse de Nantes a été placé en garde à vue samedi, a indiqué, dimanche 19 juillet, le procureur de la République.
Cet homme "était chargé de fermer la cathédrale vendredi soir et les enquêteurs voulaient préciser certains éléments de l'emploi du temps de cette personne", a déclaré Pierre Sennès. Les enquêteurs souhaitent également entendre cet homme "sur les conditions de fermeture de la cathédrale", a ajouté le procureur.
Le magistrat a souligné que "toute interprétation qui pourrait impliquer cette personne dans la commission des faits est prématurée et hâtive". "Il faut rester prudent quant à l'interprétation de cette garde à vue, c'est une procédure normale", a-t-il encore dit.
Les experts incendie de la police scientifique enquêtent
Interrogé sur les premiers éléments de l'enquête, le procureur a confirmé l'arrivée samedi après-midi des experts incendie du laboratoire de police scientifique et technique. Toutefois, ils attendaient encore le feu vert des pompiers pour accéder à la plateforme où se trouvait le grand orgue, qui a été détruit par les flammes samedi matin. "On espère le faire dans la journée", a indiqué M. Sennès.
L'incendie qui a touché la cathédrale gothique de Nantes, déjà ravagée en 1972 par un incendie brûlant sa charpente, a causé un grand émoi samedi, plus d'un an après le feu à Notre-Dame de Paris.
Cet homme "était chargé de fermer la cathédrale vendredi soir et les enquêteurs voulaient préciser certains éléments de l'emploi du temps de cette personne", a déclaré Pierre Sennès. Les enquêteurs souhaitent également entendre cet homme "sur les conditions de fermeture de la cathédrale", a ajouté le procureur.
Le magistrat a souligné que "toute interprétation qui pourrait impliquer cette personne dans la commission des faits est prématurée et hâtive". "Il faut rester prudent quant à l'interprétation de cette garde à vue, c'est une procédure normale", a-t-il encore dit.
Les experts incendie de la police scientifique enquêtent
Interrogé sur les premiers éléments de l'enquête, le procureur a confirmé l'arrivée samedi après-midi des experts incendie du laboratoire de police scientifique et technique. Toutefois, ils attendaient encore le feu vert des pompiers pour accéder à la plateforme où se trouvait le grand orgue, qui a été détruit par les flammes samedi matin. "On espère le faire dans la journée", a indiqué M. Sennès.
L'incendie qui a touché la cathédrale gothique de Nantes, déjà ravagée en 1972 par un incendie brûlant sa charpente, a causé un grand émoi samedi, plus d'un an après le feu à Notre-Dame de Paris.
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