Les incendies de plus en plus récurrents mettent les commerçants dans une situation de précarité extrême. C’est l’avis de Ousmane Sy Ndiaye, le Directeur exécutif de l’Unacois/Jappo qui se prononçait sur les incendies qui se sont déclarés ces derniers temps dans ces lieux. Pour lui, les causes de ces sinistres sont à chercher dans l’état dans lequel se trouvent ces marchés.
«Nous sommes dans une situation de périclité extrême parce que les commerçants ont perdu beaucoup d’argent, des stocks de marchandise, il y a même des pertes en vie humaines ce qui est vraiment regrettable », a-t-il déclaré.
M. Sy de poursuivre : «nous pensons que les causes de ces incendies sont diverses et variées, mas les plus récurrentes sont d’abord celles liées à la situation des marchés qui sont dans des situations de délabrement et de construction qui ne répondent pas aux normes de sécurité».
A l’en croire, les branchements anarchiques sur les réseaux électriques jouent également un rôle considérable dans les causent de ces sinistres.
Selon lui, des solutions doivent être trouvées d’autant plus que, les commerçants perdent toutes leurs économies dans ces sinistres. Et pour ne rien arranger à la situation, ils ne peuvent pas bénéficier de police d’assurance au vu des «conditions peu appréciables dans lesquelles se trouvent les marchés, les magasins ». Car «l’assurance c’est d’abord une question de clause».
«Nous sommes dans une situation de périclité extrême parce que les commerçants ont perdu beaucoup d’argent, des stocks de marchandise, il y a même des pertes en vie humaines ce qui est vraiment regrettable », a-t-il déclaré.
M. Sy de poursuivre : «nous pensons que les causes de ces incendies sont diverses et variées, mas les plus récurrentes sont d’abord celles liées à la situation des marchés qui sont dans des situations de délabrement et de construction qui ne répondent pas aux normes de sécurité».
A l’en croire, les branchements anarchiques sur les réseaux électriques jouent également un rôle considérable dans les causent de ces sinistres.
Selon lui, des solutions doivent être trouvées d’autant plus que, les commerçants perdent toutes leurs économies dans ces sinistres. Et pour ne rien arranger à la situation, ils ne peuvent pas bénéficier de police d’assurance au vu des «conditions peu appréciables dans lesquelles se trouvent les marchés, les magasins ». Car «l’assurance c’est d’abord une question de clause».
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