Après que Moscou a proposé une alternative qui n’a pas recueilli suffisamment de voix pour être considérée et que les dix membres élus ont expliqué travailler à une nouvelle mouture, dix-neuf jours après les attaques du Hamas contre les civils israéliens, les pays arabes ont saisi l'Assemblée générale et tous ses membres.
C’est le même scénario qui s’est déroulé lorsque le Conseil de sécurité de l'ONU était paralysé lors de l’invasion russe en Ukraine il y a un an et demi, à ceci près que les belligérants ne sont pas membres de l’instance cette fois, rappelle notre correspondante à New York, Carrie Nooten.
Après plusieurs semaines où le Conseil ne parvient pas à se positionner sur un évènement menaçant la paix et la sécurité internationale, à cause du jeu des veto des membres permanents, deux pays peuvent demander à l’Assemblée des 193 membres de se saisir de la question.
Un vote qui donnera le pouls de la communauté internationale
Cette session spéciale s’ouvre donc ce jeudi 26 octobre au matin et une résolution pourrait être mise au vote dès vendredi. Il y a cependant un problème : le texte proposé par les pays arabes ne mentionne ni ne condamne les attaques du Hamas.
« Nous avons décidé de rester concentrés sur l'aspect humanitaire de ce projet de résolution, déclare l'ambassadeur palestinien Riyad Mansour. La position des pays arabes a été exprimée lors de notre réunion ministérielle au Caire, au cours de laquelle nous nous opposons au fait de nuire ou de tuer des civils innocents, tous les civils de tous bords. »
À défaut d’être contraignant, le résultat du vote donnera le pouls de la communauté internationale sur cette crise.
C’est le même scénario qui s’est déroulé lorsque le Conseil de sécurité de l'ONU était paralysé lors de l’invasion russe en Ukraine il y a un an et demi, à ceci près que les belligérants ne sont pas membres de l’instance cette fois, rappelle notre correspondante à New York, Carrie Nooten.
Après plusieurs semaines où le Conseil ne parvient pas à se positionner sur un évènement menaçant la paix et la sécurité internationale, à cause du jeu des veto des membres permanents, deux pays peuvent demander à l’Assemblée des 193 membres de se saisir de la question.
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