L’asthme est considéré au Sénégal comme un problème de santé publique. Mais, même s’il ne se guérit pas, on peut le contrôler. Et c’est sur cet angle que les autorités sanitaires ont décidé de communiquer cette année.
«Il n’y a pas au Sénégal une seule personne qui n’a pas dans sa famille, dans son bureau, dans son environnement immédiat, un asthmatique, un diabétique, un hypertendu ou un malade qui a un cancer. D’ailleurs nous, le personnel de santé, sommes les premiers à être touchés. Ces maladies n’épargnent personne. Et ces maladies comme l’asthme ne guérissent pas pour la plupart. Nous vivons avec ces maladies mais elles se contrôlent. Et je suis d’autant plus heureuse de parler de ce thème pour montrer que ce n’est pas une fatalité que d’être asthmatique. Il faut reconnaitre et admettre qu’on est malade, comme quelqu’un qui a une autre maladie, mais aussi avoir le réflexe d’aller se faire contrôler », a déclaré le Dr Marie Ka Cissé, chef de la Division de lutte contre les maladies non transmissibles.
Mais ce contrôle qui permet de parer à toute éventualité n’est pas appliqué par les malades au Sénégal. D’où l’appel que lance le Dr Cissé : «le souci que nous avons nous, Sénégalais, c’est de ne pas accepter les contrôles permanents. Ce n’est pas tous les jours qu’il faut se contrôler, mais il faut accepter d’aller chez le médecin de façon régulière pour contrôler sa maladie. L’asthme est un problème de santé publique dans notre pays. Mais quand on voit les chiffres, on constate que ce n’est pas l’asthme qui tue mais ses complications. Donc il faut contrôler la maladie pour ne pas contracter les complications qui peuvent entrainer la mortalité. Et la maladie risque d’être plus lourde dans les pays en développement comme le nôtre».
Mais le manque de moyens n’est pas la cause qui a fait que l’asthme fait plus de ravages dans les pays en développement qu’ailleurs : «Si les gens meurent de l’asthme, ce n’est pas une histoire de santé qui en est la cause, mais le manque de contrôle», a martelé Marie Ka Cissé.
«Il n’y a pas au Sénégal une seule personne qui n’a pas dans sa famille, dans son bureau, dans son environnement immédiat, un asthmatique, un diabétique, un hypertendu ou un malade qui a un cancer. D’ailleurs nous, le personnel de santé, sommes les premiers à être touchés. Ces maladies n’épargnent personne. Et ces maladies comme l’asthme ne guérissent pas pour la plupart. Nous vivons avec ces maladies mais elles se contrôlent. Et je suis d’autant plus heureuse de parler de ce thème pour montrer que ce n’est pas une fatalité que d’être asthmatique. Il faut reconnaitre et admettre qu’on est malade, comme quelqu’un qui a une autre maladie, mais aussi avoir le réflexe d’aller se faire contrôler », a déclaré le Dr Marie Ka Cissé, chef de la Division de lutte contre les maladies non transmissibles.
Mais ce contrôle qui permet de parer à toute éventualité n’est pas appliqué par les malades au Sénégal. D’où l’appel que lance le Dr Cissé : «le souci que nous avons nous, Sénégalais, c’est de ne pas accepter les contrôles permanents. Ce n’est pas tous les jours qu’il faut se contrôler, mais il faut accepter d’aller chez le médecin de façon régulière pour contrôler sa maladie. L’asthme est un problème de santé publique dans notre pays. Mais quand on voit les chiffres, on constate que ce n’est pas l’asthme qui tue mais ses complications. Donc il faut contrôler la maladie pour ne pas contracter les complications qui peuvent entrainer la mortalité. Et la maladie risque d’être plus lourde dans les pays en développement comme le nôtre».
Mais le manque de moyens n’est pas la cause qui a fait que l’asthme fait plus de ravages dans les pays en développement qu’ailleurs : «Si les gens meurent de l’asthme, ce n’est pas une histoire de santé qui en est la cause, mais le manque de contrôle», a martelé Marie Ka Cissé.
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