Des journalistes vêtus des tee-shirts rouges sur lesquels on peut lire « Presse en danger !! Ça suffit doyna », ont montré leur mécontentement ce lundi 3 mai, à l'occasion de la journée mondiale de la presse Dénonçant les situations précaires dans lesquelles ils travaillent, ils ont brandi des pancartes lors d'un sit-in devant le ministère de la Communication.
« Salaire décent », « Non aux violences faites aux médias », « Touche pas à mon métier». Tels sont les mots qui retentissaient ce lundi lors de ce rassemblement sous la présence de professionnels de médias tels que Sambou Biagui, Ibrahima Lissa Faye, Bamba Kassé, Madiambale Diagne, entre autres.
Des banderoles de l’Association nationale des caméramans de la presse sénégalaise (Ancps) et de la coordination des associations de presse (CAP) étaient visible sur le podium. Ainsi que des journalistes qui dénoncent les injustices subies par des techniciens de l’information et de la communication.
Décrivant la presse « d’incontournable, d’utile et de nécessaire», ces acteurs se sont indignés devant le fait qu’on veuille « mettre cette presse dans la corbeille ». Une chose qui, disent-ils n’accepteront pas.
« Si aujourd’hui certains se permettent de museler la presse, c’est parce que la presse est divisée et il faudrait travailler l'ensemble être solidaire pour être un afin de mieux faire face à toute sorte de menaces ou de difficultés », affirme Bamba Kassé.
Une demande a été adressée aux autorités pour accompagner les acteurs de la presse en ligne afin qu’ils puissent faire normalement leur travail en informant en temps réel la population.
« Salaire décent », « Non aux violences faites aux médias », « Touche pas à mon métier». Tels sont les mots qui retentissaient ce lundi lors de ce rassemblement sous la présence de professionnels de médias tels que Sambou Biagui, Ibrahima Lissa Faye, Bamba Kassé, Madiambale Diagne, entre autres.
Des banderoles de l’Association nationale des caméramans de la presse sénégalaise (Ancps) et de la coordination des associations de presse (CAP) étaient visible sur le podium. Ainsi que des journalistes qui dénoncent les injustices subies par des techniciens de l’information et de la communication.
Décrivant la presse « d’incontournable, d’utile et de nécessaire», ces acteurs se sont indignés devant le fait qu’on veuille « mettre cette presse dans la corbeille ». Une chose qui, disent-ils n’accepteront pas.
« Si aujourd’hui certains se permettent de museler la presse, c’est parce que la presse est divisée et il faudrait travailler l'ensemble être solidaire pour être un afin de mieux faire face à toute sorte de menaces ou de difficultés », affirme Bamba Kassé.
Une demande a été adressée aux autorités pour accompagner les acteurs de la presse en ligne afin qu’ils puissent faire normalement leur travail en informant en temps réel la population.
Autres articles
-
JOJ Dakar 2026 : la CDP et le Comité d’organisation signent une convention pour renforcer la protection des données
-
Escroquerie présumée : Seydina Fall "Bougazelli" envoyé en prison, la date de son procès connue
-
Section de recherches : Pape Sané placé en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles
-
CAN 2025 : le CNRA exige des justificatifs pour les droits de diffusion au Sénégal
-
Fatick : 25,5 kg de chanvre indien saisis, un suspect arrêté





JOJ Dakar 2026 : la CDP et le Comité d’organisation signent une convention pour renforcer la protection des données


