Dans un communiqué, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) trouve cette décision historique en ce que, « pour la première fois sur le continent africain, la juridiction suprême d’un Etat membre de l’Union africaine invalide les résultats d’une élection présidentielle que la plupart des observateurs occidentaux et africains, qui s’étaient déclarés satisfaits du travail accompli par la Commission nationale électorale (IEBC), avaient légitimés ».
L’organisation qui invite les institutions judiciaires africaines à prendre exemple sur le Kenya pour restaurer la confiance des Africains en une Justice équitable, pilier essentiel de toute Démocratie, n’en exprime pas moins « sa préoccupation face à la violence dont les juges de la Cour suprême et les membres de la commission électorale sont objet depuis le prononcé de l’Arrêt ». Ainsi, la RADDHO demande aux autorités kényanes de prendre toutes les mesures pour garantir leur sécurité, particulièrement dans le contexte actuel pour tracer une nouvelle trajectoire démocratique pour le continent.
Daté du 1er septembre 2017, l’Arrêt de la cour suprême du Kenya a annulé l’élection présidentielle du 08 août dernier au motif que celle-ci n’a pas été organisée « en conformité avec les dispositions constitutionnelles et législatives y relatives et ordonné la tenue de nouvelles élections dans un délai de 60 jours ».
L’organisation qui invite les institutions judiciaires africaines à prendre exemple sur le Kenya pour restaurer la confiance des Africains en une Justice équitable, pilier essentiel de toute Démocratie, n’en exprime pas moins « sa préoccupation face à la violence dont les juges de la Cour suprême et les membres de la commission électorale sont objet depuis le prononcé de l’Arrêt ». Ainsi, la RADDHO demande aux autorités kényanes de prendre toutes les mesures pour garantir leur sécurité, particulièrement dans le contexte actuel pour tracer une nouvelle trajectoire démocratique pour le continent.
Daté du 1er septembre 2017, l’Arrêt de la cour suprême du Kenya a annulé l’élection présidentielle du 08 août dernier au motif que celle-ci n’a pas été organisée « en conformité avec les dispositions constitutionnelles et législatives y relatives et ordonné la tenue de nouvelles élections dans un délai de 60 jours ».
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