Pour Momar Ndao, président de l’Ascosen « renforcer leur droit passe forcément par l’élargissement de l’assiette des produits de première nécessité, l’accompagnement des volontaires de la consommation et des associations de consommateurs ».
«Il y a un certain nombres de propositions qui avaient été faites, qui n’avaient pas été respectées notamment l’élargissement de l’assiette des produits qui doivent être administrés parce qu’ étant des produits de premier nécessité comme le poisson , la viande, la tomate etc… », a indiqué Momar Ndao, sur Iradio.
Il a également déploré le fait que malgré le recrutement de plusieurs volontaires il n’a pas eu de changements au niveau des services du ministère du commerce. « nous avions aussi proposé au chef de l’Etat d’accompagner le ministère du commerce par des volontaires de la consommation qui serait une occasion aussi pour donner du travail à des jeunes sénégalais qui avaient des compétences et le Président avait donné son accord nous avons vu qu’il y a eu un recrutement de 2250 volontaires malheureusement ces volontaires on les a affecté sur ce qu’on appelle le recensement des boutiques mais jusqu’à présent sur le contrôle l’administration du ministère du commerce est toujours au même niveau qu’avant donc il n’y a pas tellement de suivi », a déploré le président de l’Ascosen.
« Parmi le renforcement du droit du consommateur, aussi veiller à ce que leur consommation soit assurée sur les prix. Il faut dire aussi que les traitements des réclamations des consommateurs, le renforcement des capacités des associations de consommateurs tout ce la doit être pris en considération parce qu'aujourd’hui la protection des consommateurs est un élément central pour sortir un peu des difficultés quotidiennes des sénégalais », a-t-il soutenu.
«Il y a un certain nombres de propositions qui avaient été faites, qui n’avaient pas été respectées notamment l’élargissement de l’assiette des produits qui doivent être administrés parce qu’ étant des produits de premier nécessité comme le poisson , la viande, la tomate etc… », a indiqué Momar Ndao, sur Iradio.
Il a également déploré le fait que malgré le recrutement de plusieurs volontaires il n’a pas eu de changements au niveau des services du ministère du commerce. « nous avions aussi proposé au chef de l’Etat d’accompagner le ministère du commerce par des volontaires de la consommation qui serait une occasion aussi pour donner du travail à des jeunes sénégalais qui avaient des compétences et le Président avait donné son accord nous avons vu qu’il y a eu un recrutement de 2250 volontaires malheureusement ces volontaires on les a affecté sur ce qu’on appelle le recensement des boutiques mais jusqu’à présent sur le contrôle l’administration du ministère du commerce est toujours au même niveau qu’avant donc il n’y a pas tellement de suivi », a déploré le président de l’Ascosen.
« Parmi le renforcement du droit du consommateur, aussi veiller à ce que leur consommation soit assurée sur les prix. Il faut dire aussi que les traitements des réclamations des consommateurs, le renforcement des capacités des associations de consommateurs tout ce la doit être pris en considération parce qu'aujourd’hui la protection des consommateurs est un élément central pour sortir un peu des difficultés quotidiennes des sénégalais », a-t-il soutenu.
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