qui pourraient aider l'Iran dans ses programmes nucléaires ou balistiques. Et les personnes ou entités qui violeraient les dispositions pourraient voir leurs biens bloqués à l'international.
Difficultés économiques
Le Parlement iranien doit débattre, dimanche 28 septembre, du maintien au sein du Traité de non-prolifération, selon un député, qui a ajouté que le Parlement pourrait également examiner la question de la fabrication de l’arme atomique. Mais la porte-parole du gouvernement a reconnu que le retour des sanctions onusiennes imposait à l’Iran une nouvelle forme de guerre qui rend la situation économique du pays encore plus difficile.
La chute de la monnaie iranienne s’est poursuivie samedi 27 septembre en atteignant un nouveau record historique. Ce samedi toujours, un dollar s'échangeait au marché noir contre environ 1,12 million de rials, un niveau record, selon plusieurs sites de suivi des changes. Les experts prévoient la poursuite de cette tendance qui devrait accentuer l’inflation qui dépasse largement les 50 %.
La diplomatie bloquée malgré des efforts
Des réunions au plus haut niveau se sont multipliées toute la semaine en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York pour tenter de trouver une solution diplomatique. Mais le trio européen a jugé que Téhéran n'avait pas fait les « gestes concrets ». Les Européens avaient posé trois conditions : reprise des négociations avec les États-Unis, accès des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur les sites nucléaires sensibles de Natanz, Fordo et Ispahan, bombardés en juin par Israël et les États-Unis, processus pour sécuriser le stock d'uranium enrichi.
La Russie et la Chine ont proposé vendredi 26 septembre au Conseil de sécurité de l'ONU de prolonger de six mois l'accord sur le nucléaire iranien qui expire le 18 octobre, afin de donner plus de chances à la diplomatie. Sans succès. Dans ce contexte, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a accusé samedi les Occidentaux de « saboter » la diplomatie, répétant que pour Moscou, le rétablissement est « légalement invalide ». Il a précisé avoir envoyé un courrier en ce sens au secrétaire général de l'ONU pour lui dire que la décision du Conseil « ne peut pas être appliquée ».
Difficultés économiques
Le Parlement iranien doit débattre, dimanche 28 septembre, du maintien au sein du Traité de non-prolifération, selon un député, qui a ajouté que le Parlement pourrait également examiner la question de la fabrication de l’arme atomique. Mais la porte-parole du gouvernement a reconnu que le retour des sanctions onusiennes imposait à l’Iran une nouvelle forme de guerre qui rend la situation économique du pays encore plus difficile.
La chute de la monnaie iranienne s’est poursuivie samedi 27 septembre en atteignant un nouveau record historique. Ce samedi toujours, un dollar s'échangeait au marché noir contre environ 1,12 million de rials, un niveau record, selon plusieurs sites de suivi des changes. Les experts prévoient la poursuite de cette tendance qui devrait accentuer l’inflation qui dépasse largement les 50 %.
La diplomatie bloquée malgré des efforts
Des réunions au plus haut niveau se sont multipliées toute la semaine en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York pour tenter de trouver une solution diplomatique. Mais le trio européen a jugé que Téhéran n'avait pas fait les « gestes concrets ». Les Européens avaient posé trois conditions : reprise des négociations avec les États-Unis, accès des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur les sites nucléaires sensibles de Natanz, Fordo et Ispahan, bombardés en juin par Israël et les États-Unis, processus pour sécuriser le stock d'uranium enrichi.
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