La présidente de la Commission de l'UA dénonce dans un communiqué "la poursuite des actes de violence, ainsi que la multiplication de déclarations de nature à aggraver davantage la tension actuelle et à créer les conditions d'une instabilité encore plus grande.
"Seul un dialogue inclusif regroupant l'ensemble des acteurs burundais pourra permettre au Burundi de surmonter les graves difficultés actuelles", a souligné Mme Dlamini-Zuma.
La présidente de la Commission de l’UA a également rappelé les menaces de "sanctions ciblées" brandies en octobre par l'UA contre ceux qui "contribuent à la persistance de la violence et entravent la recherche d'une solution".
Les violences ont fait 200 morts depuis fin avril selon l'ONU.
Elles se sont intensifiées depuis, avec notamment des assassinats ciblés de figures des deux camps, des attaques contre la police et des exécutions sommaires, ainsi que des accrochages entre groupes armés en gestation et forces de sécurité.
Alors que 200.000 personnes ont fui vers les pays voisins, l'ONU a récemment mis en garde contre les risques que le Burundi plonge à nouveau dans la guerre civile.
source:bbc Afrique
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