« Ces agissements me rappellent mes premières années d’opposant où les gens rasaient leurs murs pour venir me rendre visite, ou cachaient leur carte de militant du PDS comme de la drogue chez eux. J’étais de fait, seul contre tous. J’ai continué le combat et Dieu a été Le Seul Juge. Les mêmes harcèlements et persécutions sont remis au goût du jour. Seuls les poltrons vendront leur âme. J’ai enduré pire, moi », s’est-il confié.
Me Wade souvent décrit comme un père qui n’est intéressé que par son fils, se dit toutefois préoccupé par le sort des autres inculpés pour complicité d’enrichissement illicite. « Au-delà de la personne de Karim qui est mon fils avant tout, je pense beaucoup à ces garçons qui lui ont été proches et que l’on traque quotidiennement. Je pense surtout aux membres de leurs familles respectives », s’est solidarisé le secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) à travers des propos relayés par le journal « L’observateur ».
Le devancier de Macky Sall qui déverrouille la possibilité d’un retour au Sénégal précise : « si je devais aller au Sénégal, ce serait avant tout pour partager cette épreuve avec leurs parents qui doivent être très peinés ». Néanmoins, l’amertume du pape du Sopi ne lui fait pas pour autant baisser la garde car il pense que l’heure est à « l’organisation sur le double front politico-judiciaire pour faire face aux excès. Et, nous nous y attèlerons avec les avocats et nos militants et sympathisants », prévient-il.
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