Les festivités débuteront ce lundi 21 septembre par une cérémonie modeste pour célébrer les 75 ans de l’ONU avec les diplomates basés à New York, et ce alors que l’anniversaire en grande pompe a été annulé en juin dernier. Ce sera l’occasion pour des personnalités politiques de réclamer des Nations unies plus fortes, et un multilatéralisme renforcé.
Mardi, le secrétaire général Antonio Guterres s’adressera à l’Assemblée et devrait appeler de ses vœux un vaccin contre le Covid-19 distribué équitablement dans le monde, ainsi qu’un cessez-le-feu global. Il sera suivi par les discours des chefs d’État diffusés tour à tour.
« Le Covid-19 a révélé énormément de problèmes dans différents pays et entre des pays. Et je pense que la plupart des chefs d’État pensent que les Nations Unies n’ont jamais été aussi nécessaires que maintenant, mais il faut que ce soit une ONU pertinente et capable de gérer ces défis globaux, que ce soit le Covid-19, le changement climatique ou d’autres problèmes », a déclaré l'ambassadeur européen à l'ONU, Olof Skoog.
Tous les pays membres vont faire un discours
La virtualité de la rencontre a créé un effet bénéfique secondaire, car jamais autant de discours n’auront été prononcés à une session. Tous les pays membres, au total 193, ont répondu présents, et il faudra cinq jours et demis pour tout écouter.
Trois autres grands temps forts sont à noter : un sommet sur la biodiversité, des séminaires à distance sur les objectifs de développement durable pour 2030 – lancés il y a cinq ans et qui ont pris énormément de retard à cause de la pandémie de Covid-19. Et enfin, le sommet Beijing+25, sur l’égalité des sexes et la condition de la femme, 25 ans après la conférence référence sur le sujet, qui s’était tenue à Pékin.
En outre, des réunions spéciales sur le Liban – coprésidées avec la France –, la Centrafrique et la Libye – une suite à la conférence de Berlin – seront organisées en marge du programme officiel.
Mardi, le secrétaire général Antonio Guterres s’adressera à l’Assemblée et devrait appeler de ses vœux un vaccin contre le Covid-19 distribué équitablement dans le monde, ainsi qu’un cessez-le-feu global. Il sera suivi par les discours des chefs d’État diffusés tour à tour.
« Le Covid-19 a révélé énormément de problèmes dans différents pays et entre des pays. Et je pense que la plupart des chefs d’État pensent que les Nations Unies n’ont jamais été aussi nécessaires que maintenant, mais il faut que ce soit une ONU pertinente et capable de gérer ces défis globaux, que ce soit le Covid-19, le changement climatique ou d’autres problèmes », a déclaré l'ambassadeur européen à l'ONU, Olof Skoog.
Tous les pays membres vont faire un discours
La virtualité de la rencontre a créé un effet bénéfique secondaire, car jamais autant de discours n’auront été prononcés à une session. Tous les pays membres, au total 193, ont répondu présents, et il faudra cinq jours et demis pour tout écouter.
Trois autres grands temps forts sont à noter : un sommet sur la biodiversité, des séminaires à distance sur les objectifs de développement durable pour 2030 – lancés il y a cinq ans et qui ont pris énormément de retard à cause de la pandémie de Covid-19. Et enfin, le sommet Beijing+25, sur l’égalité des sexes et la condition de la femme, 25 ans après la conférence référence sur le sujet, qui s’était tenue à Pékin.
En outre, des réunions spéciales sur le Liban – coprésidées avec la France –, la Centrafrique et la Libye – une suite à la conférence de Berlin – seront organisées en marge du programme officiel.
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