Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et l’Ecole d’application du service de santé des armées (EASSA) ont organisé, le 24 juin, une Journée d’échanges sur « la protection des soins de santé en situation de conflit armé - Droits et devoirs du personnel de santé et bonnes pratiques ».
Mme Valentina Bernasconi, Cheffe de la délégation régionale du CICR à Dakar soutient que « cette initiative marque l’engagement national du Sénégal adossée à la résolution 2286 du 3 mai 2016 par le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour protéger les soins de santé dans des conflits ».
Elle a aussi magnifié « le rôle joué par les médecins militaires sénégalais qui ont accompagné les théâtres d’opérations les plus difficiles du Koweit, au Liban et au Rwanda en passant par le Libéria et le Mali pour ne citer que ceux-là. Ce mérite est aussi reconnu à ses forces armées, 11ème au plan mondial en termes d’effectifs» selon Mme Bernasconi.
Depuis que le Conseil de sécurité de l’ONU a exigé la fin de l’impunité des attaques contre les systèmes de soins de santé il y a cinq ans, des milliers d’attaques de cette nature ont continué de faire payer un lourd tribut aux personnels de santé et aux personnes malades ou blessées.
Les exactions auxquelles les personnels de santé et les patients ont été exposés sont les meurtres, les viols, les violences physiques, les pillages et la destruction des installations médicales et des véhicules de transport sanitaire. Nous constatons aussi des obstructions au fonctionnement des services de santé ou une campagne de vaccination ou encore le refus de laisser une ambulance franchir un point de contrôle.
Entre 2016 et 2020, le CICR a recensé 3 780 attaques par an dans 33 pays en moyenne, dont les deux tiers en Afrique et au Moyen-Orient.
Mme Valentina Bernasconi, Cheffe de la délégation régionale du CICR à Dakar soutient que « cette initiative marque l’engagement national du Sénégal adossée à la résolution 2286 du 3 mai 2016 par le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour protéger les soins de santé dans des conflits ».
Elle a aussi magnifié « le rôle joué par les médecins militaires sénégalais qui ont accompagné les théâtres d’opérations les plus difficiles du Koweit, au Liban et au Rwanda en passant par le Libéria et le Mali pour ne citer que ceux-là. Ce mérite est aussi reconnu à ses forces armées, 11ème au plan mondial en termes d’effectifs» selon Mme Bernasconi.
Depuis que le Conseil de sécurité de l’ONU a exigé la fin de l’impunité des attaques contre les systèmes de soins de santé il y a cinq ans, des milliers d’attaques de cette nature ont continué de faire payer un lourd tribut aux personnels de santé et aux personnes malades ou blessées.
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