L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé, mardi à Dakar, un programme de renforcement des capacités de neuf laboratoires de sécurité sanitaire des aliments au Burkina Faso, au Niger et au Sénégal, afin de les mettre aux normes internationales.
« Pour assurer la sécurité des aliments, il nous faut vraiment travailler avec des laboratoires qui sont aux normes et qui ont les capacités de nous montrer que les aliments que nous consommons sont d’un niveau acceptable », a expliqué Zoéwindé Heni-Noel Bouda, responsable de la formation et fonctionnaire chargé de la foresterie au bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique de l’Ouest.
Selon lui, ce programme vise à doter « neuf laboratoires de nos trois pays […] pour atteindre les standards internationalement reconnus », afin de détecter efficacement les contaminants et protéger la santé publique. Les diagnostics initiaux ont mis en évidence « des lacunes persistantes » en matière d’infrastructures, d’équipements, de systèmes de qualité et de compétences techniques.
Le professeur Amadou Diop, président du Codex Alimentarius Sénégal, a rappelé que « le contrôle est un moyen de dissuasion » pour inciter producteurs et industriels à ne proposer que des produits conformes. « Pour commercer, il faut respecter des normes. Et ces normes-là sont fabriquées à partir des données produites par les laboratoires », a-t-il ajouté.
Le programme prévoit des actions de modernisation, de formation, de normalisation des procédures et d’audit, ainsi qu’un système d’analyse comparative des performances pour garantir une amélioration continue, indique Aps.
« Pour assurer la sécurité des aliments, il nous faut vraiment travailler avec des laboratoires qui sont aux normes et qui ont les capacités de nous montrer que les aliments que nous consommons sont d’un niveau acceptable », a expliqué Zoéwindé Heni-Noel Bouda, responsable de la formation et fonctionnaire chargé de la foresterie au bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique de l’Ouest.
Selon lui, ce programme vise à doter « neuf laboratoires de nos trois pays […] pour atteindre les standards internationalement reconnus », afin de détecter efficacement les contaminants et protéger la santé publique. Les diagnostics initiaux ont mis en évidence « des lacunes persistantes » en matière d’infrastructures, d’équipements, de systèmes de qualité et de compétences techniques.
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