Les enfants africains constituent la majorité de la population. Leur culture et leur situation les amènent à contribuer à l'effort de leur famille et de la société pour " s'en sortir ". Une marge non négligeable des enfants scolarisés travaille à temps partiel. De même, beaucoup d'enfants qui travaillent tentent de s'instruire parallèlement. Et ainsi, des enfants réunis autour du Mouvement africain des enfants et jeunes travailleurs (MAEJT), se sont structurés pour faire face à cette situation.
C’est ainsi que la déléguée de la Guinée-Bissau, Ester Miriam Tamba Nsguê a expliqué que certains enfants d’Afrique sont obligés de travailler pour contribuer à améliorer les conditions de vie de leur famille et donc de sortir de la pauvreté ». Elle martèle qu’elles doivent aussi lutter contre notre pauvreté et celle de leurs communautés.
Selon les enfants et jeunes membres de MAEJT, les activités génératrices de revenus leur permettent de prendre en charge leurs besoins de base. Les ressources de ces activités leur permettent de contribuer aux charges familiales, aux frais de scolarités et d’apprentissage de leurs frères et de d’eux-mêmes quand ils devront payer leur formation
Pour le délégué du Cameroun, Essonba Onguene Wilfride, on ne peut pas interdire aux enfants de travailler, car ils vivent dans une famille pauvre et sont obligés de travailler pour survivre ou même pour pouvoir aller à l’école». Cependant a-t-il ajouté : «tout ce qu’on peut faire s’est de travailler à améliorer leur condition, à leur rendre cela moins fatiguant».
Le Mouvement qui veut lutter contre la pauvreté, regroupe 21 pays d'Afrique. Il est constitué d'environ 400 groupes de base, regroupant 20000 filles domestiques, vendeuses des marchés, enfants et jeunes travailleurs indépendants des rues et des marchés, et apprenti(e)s.
C’est ainsi que la déléguée de la Guinée-Bissau, Ester Miriam Tamba Nsguê a expliqué que certains enfants d’Afrique sont obligés de travailler pour contribuer à améliorer les conditions de vie de leur famille et donc de sortir de la pauvreté ». Elle martèle qu’elles doivent aussi lutter contre notre pauvreté et celle de leurs communautés.
Selon les enfants et jeunes membres de MAEJT, les activités génératrices de revenus leur permettent de prendre en charge leurs besoins de base. Les ressources de ces activités leur permettent de contribuer aux charges familiales, aux frais de scolarités et d’apprentissage de leurs frères et de d’eux-mêmes quand ils devront payer leur formation
Pour le délégué du Cameroun, Essonba Onguene Wilfride, on ne peut pas interdire aux enfants de travailler, car ils vivent dans une famille pauvre et sont obligés de travailler pour survivre ou même pour pouvoir aller à l’école». Cependant a-t-il ajouté : «tout ce qu’on peut faire s’est de travailler à améliorer leur condition, à leur rendre cela moins fatiguant».
Le Mouvement qui veut lutter contre la pauvreté, regroupe 21 pays d'Afrique. Il est constitué d'environ 400 groupes de base, regroupant 20000 filles domestiques, vendeuses des marchés, enfants et jeunes travailleurs indépendants des rues et des marchés, et apprenti(e)s.
Autres articles
-
Gambie : la présence des soldats sénégalais de l’Ecomig rassure la population (diplomate)
-
Kenya : Ruto décrète 3 jours de deuil national pour le général Ogolla
-
Le Burkina Faso expulse 3 diplomates français
-
Dialogue national au Gabon: un bilan positif à mi-parcours
-
Des inondations records dans plusieurs pays d'Afrique, noyés sous les besoins d'assistance