Photo non datée du chef d'al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdel, en présence de ses hommes, au nord du Mali.
Les trois islamistes se dirigeaient vers la zone sahélienne, au sud de l’Algérie, quand ils ont été arrêtés à un barrage de gendarmerie dans la région de Ghardaïa. L’un de ces hommes est un haut responsable d’Aqmi, plus précisément le chef de la commission juridique et le premier juge de l’organisation terroriste, selon l’agence de presse algérienne.
Necib Tayeb, également connu sous le nom d’Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, était surtout chargé de mettre de l’ordre au Sahel. En effet, dans cette région qui couvre l’Algérie mais aussi le Mali ou encore le Niger, la branche maghrébine d’al-Qaïda est confrontée à d’autres organisations islamistes comme le Mujao ou Ansar Dine. Cette concurrence aurait provoqué une guerre des chefs locaux, au sein d’Aqmi. Et le rôle de l’homme arrêté par les Algériens était bien de calmer les tensions.
Si Aqmi est très probablement actif sur le sol algérien, les forces de sécurité n’avait jamais arrêté l’un de ses membres. Mais Necib Tayeb était connu de l’armée algérienne. Il faisait partie du Groupe islamiste armé (GIA), responsable des attentats pendant les années 1990. C’était également l’un des plus anciens membres du Groupe islamique pour la prédication et le combat, le GSPC.
Source: RFI
Necib Tayeb, également connu sous le nom d’Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, était surtout chargé de mettre de l’ordre au Sahel. En effet, dans cette région qui couvre l’Algérie mais aussi le Mali ou encore le Niger, la branche maghrébine d’al-Qaïda est confrontée à d’autres organisations islamistes comme le Mujao ou Ansar Dine. Cette concurrence aurait provoqué une guerre des chefs locaux, au sein d’Aqmi. Et le rôle de l’homme arrêté par les Algériens était bien de calmer les tensions.
Si Aqmi est très probablement actif sur le sol algérien, les forces de sécurité n’avait jamais arrêté l’un de ses membres. Mais Necib Tayeb était connu de l’armée algérienne. Il faisait partie du Groupe islamiste armé (GIA), responsable des attentats pendant les années 1990. C’était également l’un des plus anciens membres du Groupe islamique pour la prédication et le combat, le GSPC.
Source: RFI
Autres articles
-
Algérie : le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française
-
Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation
-
Législatives en Côte d'Ivoire: émergence d'ADCI, une troisième force d'opposition
-
Les États-Unis mènent des vols de surveillance au-dessus du Nigeria
-
Au Bénin, un député en détention provisoire dans le cadre de l'enquête sur le coup d'État avorté




Algérie : le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française


